« La sécheresse est annoncée non pas seulement pour la France ou le Brésil, ou l’Afrique, mais pour le monde entier ! Elle toucherait tous les continents.
Il n’y aura plus d’eau douce nulle part en surface, et les hommes seront obligés de creuser très profondément à grand frais pour pouvoir boire. Car les fleuves, les rivières, les lacs seront tous à sec, et, en ces jours-là, un verre d’eau coûtera fort cher. La plus importante partie des eaux douces est constituée par les glaces des pôles et les glaciers.
Les eaux souterraines représentent à elles seules 8/10 des eaux de surface, lacs et rivières. Mais la consommation industrielle, agricole et domestique a considérablement augmenté depuis trente ans, et pompe les réserves accumulées dans les nappes phréatiques depuis des siècles.
Le bouleversement écologique, à la suite de la Grande Tribulation, provoquera une inversion des saisons, et, comme nous le dit le message, seul le bassin de Dozulé sera plein d’eau miraculeusement, pour la purification des esprits et des âmes.
« Alors, à ce moment-là, toutes les nations de la Terre se lamenteront, et c’est à cette Croix qu’elles trouveront la paix et la joie ! »
En effet, les gens constateront que les paroles du Christ datent de 1974, bien avant la sécheresse ; devant leur réalisation à la lettre, l’authenticité de ces paroles apparaîtra clairement.
Ce qui paraît impensable aujourd’hui sera évident demain…
Voici un extrait du livre de Maria Valtorta,
« À l’aube d’une ère nouvelle », qui nous annonce aussi la sécheresse.
Le Seigneur lui confiait, en 1942 :
“Les animaux privés de foin, d’avoine et autres grains mourront de faim et, pour aggraver la faim des hommes, disparaîtront sans avoir eu le temps de procréer ; les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, ainsi que les troupeaux, seront pourchassés de toutes parts, pour donner à vos ventres affamés de la nourriture que la Terre ne produira plus pour vous qu’avec une extrême parcimonie…”
Le Christ lui annonce alors la suspension des lois cosmiques qui provoquera un froid sévère et prolongé, aussi bien qu’une inversion des saisons :
“De sorte que vous aurez une sécheresse à la saison des pluies, et de la pluie à l’époque de la maturité des récoltes.”
Devant la réalisation de la sécheresse mondiale, imprévisible humainement en 1974, les pèlerins qui liront le message de Dozulé, se rendront compte que le temps se fait court, puisque le nouveau monde doit venir après les jours de détresse de la sécheresse générale.
Ils seront dans la joie à cause de leur espérance, à cause du peu d’attente avant le retour du Christ et de Son triomphe imminent.
Car le nouveau monde sera bien plus beau que l’ancien, et baignera dans la paix.
Le chapitre XVI de l’Apocalypse fait allusion à la grande sécheresse de la fin des temps, dans l’ultime conflit mondial :
“Le sixième ange répandit la coupe sur le grand fleuve Euphrate. Alors ses eaux tarirent, laissant passage aux rois de l’Orient.”
L’Euphrate est un fleuve qui parcourt l’Irak du nord au sud. Il mesure 2165 kilomètres de long, entre 300 mètres et 1 kilomètre de large, et 10 mètres de profondeur.
Le Tigre et l’Euphrate irriguent la riche plaine de Mésopotamie.
Pour que l’Euphrate tarisse, au point que les rois de l’Orient avec leurs armées (la Chine) puissent le franchir à sec, il faut une sécheresse gigantesque pour assécher le lit du fleuve.
De mémoire d’homme, cela n’est jamais arrivé.
Le chapitre XVI de l’Apocalypse annonce les conséquences de la grande sécheresse généralisée sur tout le globe. La famine des peuples entraînera l’ultime conflit mondial entre l’Orient et l’Occident :
Les esprits impurs s’en vont rassembler les rois du monde entier pour la guerre, pour le grand jour de Dieu Maître de tout, au lieu- dit, en hébreu, “Harmaguedon”.
Harmaguedon, important carrefour de routes entre la Syrie et Israël, se trouve au nord de la grande plaine de Galilée, à Méguido ; c’est là que Napoléon, s’arrêta pendant sa campagne d’Égypte, et dit, pensant à ce passage de l’Apocalypse :
“Lorsque la Chine s’éveillera, le monde tremblera ; ici toutes les nations du monde pourraient combattre.”
La famine pousserait la Chine à envahir le monde avec des troupes innombrables, à la fin de la sécheresse mondiale.
Mao Tsé-toung disait qu’il pouvait lever une armée de 200 millions d’hommes.
Or, saint Jean annonce une troupe de 200 millions de cavaliers venant de l’Orient…
Ils traverseront l’Inde, l’Irak.
Ils passeront l’Euphrate à sec, et se dirigeront vers “Harmaguedon”, au nord d’Israël.
Alors, nous dit l’Écriture, “arrivera le grand jour de Dieu Maître de tout”.
“Et le sixième ange sonna…
“Relâche les quatre anges enchaînés sur le grand fleuve Euphrate.”
Et l’on relâcha les quatre anges qui se tenaient prêts pour l’heure et le jour et le mois et l’année, afin d’exterminer le tiers des hommes.
Leur armée comptait deux cent millions de cavaliers : on m’en précisa le nombre.
Tels m’apparurent en vision les chevaux et leurs cavaliers.”
Saint Jean est très pessimiste et ne voit pas la conversion de l’humanité malgré les souffrances de la Tribulation finale.
“Or les hommes échappés à l’hécatombe de ces fléaux ne renoncèrent même pas aux œuvres de leurs mains : ils ne cessèrent d’adorer les démons, ces idoles d’or, d’argent, de bronze, de pierre et de bois, incapables de voir, d’entendre et de marcher” (la société de consommation, le matérialisme).
“Ils n’abandonnèrent ni leurs meurtres, ni leurs sorcelleries, ni leurs débauches, ni leurs rapines…” (Ap 9, 13-21).
“Mais aux jours où l’on entendra le septième ange, quand il sonnera de la trompette, alors sera consommé le mystère de Dieu, selon la bonne nouvelle qu’il en a donnée à ses serviteurs les prophètes.” (Ap 10, 7).
“Et le septième ange sonna…”
Alors, au ciel, des voix clamèrent :
“La royauté du monde est acquise à notre Seigneur ainsi qu’à son Christ ; il régnera dans les siècles des siècles.”
“Nous te rendons Grâce, Dieu Maître-de-tout, “Il est et Il était”, parce que Tu a pris en main Ton immense puissance pour établir Ton règne.
Les nations s’étaient mises en fureur ; mais voici Ta fureur à Toi, et le temps pour les morts d’être jugés…” (Ap 11, 15-18).
Après la fin de la sécheresse s’accompliront les paroles du Christ venant prévenir l’Église à Dozulé le 1er novembre 1974, jour de la Toussaint, date très significative pour la Parousie, tous les saints descendant des cieux autour du Christ glorieux :
Dozulé, le 1er novembre 1974
Après ces jours de détresse, alors apparaîtra dans le ciel le Fils de l’Homme lui-même avec une grande majesté et une grande puissance, pour rassembler les élus des quatre coins de la Terre.
Heureux les repentants, car ils auront la vie éternelle.
En vérité, je vous le dis, le Ciel et la Terre passeront, mais mes
paroles ne passeront point” (21e apparition).
Ami, réjouis-toi sans cesse, réjouis-toi, Dieu te garde, Dieu vient !
Extrait du livre DOZULE Le Retour du Messie dans la Gloire (Résiac)
« Ce sera un bon Jugement, il y aura 2000 ans + l’âge du Christ » Jean XXIII