LA PREUVE DE LA SURVIE DE LOUIS XVII : Le DOCTEUR DESAULT médecin de Louis XVII

Carte montrant 12 monarchies européennes

Conférence à Josselin le 26 avril.

Martineau, l’auteur du livre « Comment survivre au chaos » paru chez Résiac, fondateur de la chaîne Youtube « La fin des temps » 44.000 abonnés et du réseau d’entraide catholique « Les Amis de Joseph », sera en conférence à Josselin dans le Morbihan le samedi 26 avril à 14h à la maison du sanctuaire de Tylis 2 rue Lucien Briend 56120 Josselin. Le thème de la conférence sera le réseau d’entraide « Les Amis de Joseph » pour impulser une dynamique de prière et d’entraide en Bretagne. L’entrée est gratuite. Participation libre. Vous pouvez: réserver votre (ou vos) place(s) en envoyant un mail à l’organisateur à : fjdj56260@gmail.com


Mgr Henri nous dit que l’Avertissement sera dans une année bi-sextile (2028?) pour la réalisation du grand miracle de Garabandal dans les 12 mois suivants.
Le miracle de Garabandal , qui doit convertir la Russie et la Chine, doit correspondre à un martyre de l’Eucharistie. 

DERNIERE MINUTE : Intention de prières pour les Coeurs Croisés donnée par Mgr Henri mardi soir : « A l’approche des fêtes Pascales, prions pour l’unité des Chrétiens d’Orient et d’Occident »

Extrait du Message de Notre SEIGNEUR Jésus à Henrile Lundi Saint 14 avril 2025 :

« ……. De nombreux sacrilèges vont être commis pendant ces saints jours dans Ma propre Maison ! 
Mon fils de prédilection (Henri est un consacré), acceptez la couronne d’épines en réparation des irrévérences envers les vérités immuables contredites par les lèvres de Mes ministres consacrés .
Les jours qui suivront l’aurore seront orageux……. »

363 e Lettre aux Coeurs Croisés le 16 avril 2025

Chers Amis,

Avant la lettre hebdomadaire, nous vous transmettons l’enseignement de Mgr Henri reçu cette semaine. C’est une grande grâce pour les Coeurs Croises. Seuls ceux qui auront lu les deux ouvrages « Du Ciel elle est descendue « et « Batissez une chapelle » auront compris en ouvrant leur coeur.
Grâce au relais de France Liberté, nous sommes environ 8000 lecteurs maintenant.
Nous attendons d’autres relais afin que l’Armée des Coeurs Croisés de l’Amour grandisse pour recevoir le ROI des Lys,lors de la grande tribulation.

« La prière de notre Seigneur Jésus-Christ roi de France » écrite par Mgr Henri : Prions la bien tous les jours pour hâter le règne béni .

« Seigneur Jésus-Christ, Vrai roi de France,

Souvenez-vous de votre peuple de prédilection,

Souvenez-vous de la mission que vous lui avez confiée dans le monde,

Souvenez-vous de l’alliance que vous avez signée avec Clovis au baptistère de Reims,

et confirmée par Saint-Rémy et Sainte Jeanne d’Arc, puis renouvelée à chacun des sacres de ses rois très chrétiens.

Cette alliance a été brisée. La France officielle a renié ses engagements envers vous
depuis qu’elle a assassiné son roi.

Faites lui la grâce Seigneur Jésus, de réparer ses erreurs et ses fautes, afin qu’elle revienne au plus tôt à sa vocation première, qui est la défense de l’Eglise Romaine qui est votre seule Eglise.

Vos desseins sont impénétrables, mais nous croyons que la prière des hommes est puissante sur votre Cœur.

Soumis à votre sagesse et confiant en votre bonté, nous vous supplions que la France revienne à ses origines par l’alliance de l’autel et du trône restaurés

Seigneur Dieu comme au temps de Jeanne d’Arc, rendez à la France son roi très chrétien, afin que recevant à Reims son digne sacre, il soit en toute vérité votre lieutenant temporel, le ministre de votre sainte volonté pour le bien de l’Eglise, de la patrie et de l’humanité.

Nous vous demandons cette grâce au nom de votre Sacré-Cœur qui aime toujours les Francs, au nom de votre très Sainte mère notre reine bien-aimée, au nom de Saint Michel Ange, gardien de la France, de Saint Jeanne d’Arc, la grande martyre de votre royauté en France, au nom de nos saints protecteurs et de tous les saints de la maison royale de France.

Seigneur Jésus-Christ donnez-nous un roi ! Ainsi soit-il »

(Prière donnée le 12 -4-2025 par Monseigneur Henri, Fondateur de l’Ordre Romain).

« Ne fabriquons pas de roi façonné selon nos idées préconçues. Laissons Dieu nous donner son roi ! Ne reproduisons pas les mêmes erreurs du passé avec l’histoire du peuple errant !
Tous nous avons besoin de ce roi ! Qu’il vienne Seigneur pour notre délivrance ! Écoute mon Dieu les cris de ton peuple ! Seul l’Amour nous sauvera ! Seul l’Amour ramènera la paix ! Seul l’Amour nous donnera le roi du Christ Roi !
Je sers sur mon Coeur l’Armée des Coeurs Croisés »
« Nous avons la clé pour recevoir le Roi des Lys qui va au-delà de la compréhension humaine ». (Mgr Henri)….

LA PREUVE DE LA SURVIE DE LOUIS XVII :
Le DOCTEUR DESAULT médecin de Louis XVII

Pour envisager la restauration d’une monarchie forte et respectée en France, suite à un effondrement de la république, il faut être sûr que la descendance de la branche ainée capétienne existe bien, même cachée. Oui elle existe, l’Ordre ROMAIN en est assuré par les apparitions vécues par Mgr Henri,  évêque stigmatisé, ( Cela n’est jamais arrivé, mais c’est une réalité en dépit des doutes de certains; il existe bien 12 monarchies en EUROPE...).Ces prophéties sont révélées dans les deux livres exeptionnels. (ELLE est descendue du CIEL » et « Batissez une chapelle en l’honneur de mes apparitions. vendus par Amazon ou en ligne ci-dessous gratuitement). Cliquez sur :

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Officiellement, selon les révolutionnaires, l’enfant détenu dans la tour du temple au printemps  1795 était Louis XVII, fils de Louis XVI et Marie-Antoinette. Ce jeune prisonnier, agé de 15 à 18 ans tomba malade, ses gardiens alertèrent le comité de sûreté générale.

Le 17 floréal AN III (6 mai 1795), le comité pris un arrêté dans lequel était désigné le Docteur Pierre Joseph Desault pour porter des soins au petit malade.
Le Docteur Desault, était l’une des lumières médicales du XVIIIe siècle,chirurgien en chef de l’Hôtel Dieu de Paris, il avait fondé dans cette ville une clinique chirurgicale, la première en date qui ait existé en France.
Il a été le maître du célèbre Bichat et de beaucoup d’autres.
C’est en cette qualité qu’il avait été appelé en consultation avec plusieurs de ses collègues auprès du frère de Charles, le premier dauphin, Louis Joseph, quelques temps avant la mort de celui-ci en juin 1789.
Peut-être eut-il l’occasion de voir alors le Duc de Normandie, le futur Louis XVII, âgé à l’époque de quatre ans.
Le Docteur Desault avait déjà, avant cette nomination, visité l’enfant  au mois d’août 1794. Il connaissait donc Charles agé de 9 ans en 1794.
Ce fût au lendemain de sa nomination, le 7 mai 1795, qu’il se rendit au temple.
Lorsqu’il rentra chez chez lui, il raconta à sa femme que lors de cette visite il n’avait pas reconnu l’enfant qu’on lui avait présenté comme étant le Dauphin ; il eut ce mot : « ils ont changé l’enfant ».

La nièce de Madame Desault, Madame Marguerite-Agathe Thouvenin confia bien souvent « qu’un enfant mort, avait été présenté au Temple au Docteur Desault comme étant Louis XVII, mais que Monsieur Desault s’était formellement refusé à reconnaître, dans cet enfant, le jeune Dauphin ».

Bien entendu, Desault, médecin aussi consciencieux que savant, soigna le petit malade et s’adjoignit même, pour se faire, (tout au moins à titre de consultants et aussi pour la préparation des remèdes), ses confrères et amis, les Docteurs François Choppart, avec lequel il avait publié en 1789 un traité des maladies chirurgicales, Doublet, médecin éminent lui aussi, et chargé du contrôle de la pharmacie de l’Hôtel Dieu, et Abeille, son ancien élève, jeune médecin fort brillant et de grand avenir.
Desault revint au temple, au chevet de l’enfant malade, pour la dernière fois le 30 mai 1795 ; Ce jour là, le sieur Breuillard était de service au temple, il connaissait Desault et entama avec lui cette conversation en redescendant l’escalier après la visite : « C’est un enfant perdu n’est-ce pas ? », « Je le crains, mais il y a peut-être dans le monde des gens qui l’espèrent » répondit Desault. Ce furent les dernières paroles que prononça Desault dans la Tour du temple.
Il faut dire qu’entre temps, Desault n’était pas sans avoir fait quelques recherches pour découvrir ce qu’avait pu devenir le fils de Louis XVI puisqu’on lui avait présenté un autre enfant à sa place.
Il savait du reste à quel grave danger il s’exposait ; les témoins sont unanimes sur ce point, ils rapportent sa propre déclaration : « Je suis un homme perdu » et le Docteur régla en particulier le compte qu’il avait avec Monsieur Le Sueur en lui disant à lui aussi : « Je veux mettre ordre à mes affaires ; je suis un homme perdu ; j’ai trop parlé ».


Faisant passé son devoir avant tout, le lendemain de sa dernière visite au temple, le 31 mai, (à moins que ce soit le 30 au soir, les avis diffèrent), il fit une ultime démarche auprès du comité de sûreté générale et y déposa un rapport, où toujours d’après ses proches, il consigna la substitution qu’il avait découverte (d’après la table décennale du Moniteur de 1789 à l’An VIII, ce rapport devait y être inséré au n° 263 : en se reportant à ce numéro de ce qui est, sinon le journal officiel de la révolution, en tout cas, le journal officieux des jacobins au pouvoir, on constate que le rapport annoncé n’y figure pas : il a été censuré !).
Au demeurant, les conventionnels, membres du comité, avaient accueilli Desault avec beaucoup d’aménité et d’égards ; en raison de l’heure tardive, ils lui offrirent à dîner.

A la suite de ce repas, en rentrant chez lui, le Docteur Desault fut pris de violents vomissements à la suite desquels il cessa de vivre, ce qui laissa croire qu’il avait été empoisonné. D’après son acte de décès, il est mort le 1er juin 1795, le lendemain de sa visite à Louis XVII; or, dans le rapport du 9 juin à la convention, le représentant du comité, le Député Sevestre, donna à ce décès la date fausse du 4 juin, ce que reproduiront certains historiens qui croiront pouvoir aussi expliquer la mort de Desault par une cause naturelle (une fièvre ataxique subitement déclarée).

Là également, les documents permettent de rétablir les faits. On invoque souvent le témoignage de Bichat, élève et ami de Desault, et sur d’autres éléments qu’il ne communique pas, pour affirmer que Desault tomba malade dans la nuit du 29 au 30 mai : c’est nécessairement inexact puisque Desault, le 30 mai est au temple, où il parle en sortant avec le commissaire de service Breuillard.
Bien plus, l’empoisonnement du Docteur Desault est admis comme un fait patent par les médecins qui vont lui succéder au temple comme nous allons le voir. C’est aussi l’avis d’un éminent médecin-expert parisien du temps, le Docteur Valentin : quelques semaines plus tard, ce praticien n’hésite pas à écrire dans un contre-rapport destiné au Cabinet Britannique : « Messieurs Doublet et Choppart, comme Desault sont morts en moins de quatre jours ; il est donc permis de redouter le nouveau genre de mandat d’arrêt qu’on adopté les comités ».


Ainsi, donc, Desault, Choppart et Doublet sont morts.
Sans attendre davantage et pris de peur, le jeune Docteur Abeillé, abandonnant famille, amis et clientèle quitte Paris et s’embarque à destination des Etats-Unis où il y fit toute sa carrière. Il laisse  son propre témoignage à divers amis, émigrés comme lui, Madame Delisle de New-York, le Docteur Estier de Londres etc…
Bien plus son propos est rapporté à l’époque de la restauration dans un article de la revue « The American Bee » dirigée par un français émigré, Monsieur Chaudron « j’ai quitté, écrit le Docteur Abeillé, la France car je ne voulais pas mourir comme mes confrères Desault, Choppart et Doublet ».
C’est exactement ce que disent à certains de leurs amis d’autres médecins du temple, qui, eux, sont demeurés en France, mais avaient su être plus discrets et prudents que Desault, le docteur Pelletan par exemple.
En tout cas, la prudence du Docteur Abeillé ne se démentira pas ; il sait sans aucun doute ce qu’il risquerait à revenir en France, et les divers changements de régime qui y surviennent dans les quarante années suivantes ne le déterminent pas à ce retour. En 1830, il réside toujours à New-York et ne songe pas à regagner Paris.
Conclusion : une note de police adressée au comte Decazes en 1817 par un de ses agents secrets indique un fait qu’il faut sans doute imputer au jeune Thouvenin : « Il circule une colie émanant d’un neveu du Docteur Desault et dont l’original aurait été déposé par le Docteur aux archives de l’Ecole de Médecine, disant que
L’enfant auquel il donnait alors (en mai 1795) ses soins au temple n’était pas le Dauphin ». Louis XVII avait 10 ans, mais le corps de l’enfant autopsié  avait entre 15 et 18 ans…
Louis XVII fut bien exfiltré du Temple auparavant.

Extrait de la revue Historia :

Les documents authentiques, certains indiscutables, ayant trait à la mort ou à l’évasion du Dauphin, fils de Louis XVI, emprisonné à la Tour du Temple, sont trop rares pour qu’on puisse songer à les juxtaposer utilement de façon à en former un récit solide et inattaquable. Un semblant travail n’est pas, en tous cas, sans utilité, puisqu’il met à la portée du public les données d’un problème angoissant […]. Fixons d’abord les faits connus, indéniables.

Le jeune Dauphin avait 7 ans et 5 mois lorsque le roi son père, et Marie-Antoinette, ainsi que Madame Élisabeth et Madame Royale, furent enfermées le 13 août 1792, à la Tour du Temple. On logea le roi et le Dauphin au second étage, avec le valet de chambre Cléry. […] En décembre, au début du procès du roi, l’enfant fut séparé de son père et remis à a reine, qui fit dresser pour lui un lit dans sa chambre. Il en fut ainsi depuis le 16 décembre 1792 jusqu’au 3 juillet 1793. Ce jour-là, dans la soirée, les commissaires de service se présentèrent à l’appartement de Marie-Antoinette et lui signifièrent l’ordre d’avoir à leur remettre son fils : Le Dauphin ne devait plus revoir sa mère.

On le conduisit au second étage de la prison, qu’il avait, pendant deux mois, occupé avec son père.
Là, le nouveau précepteur que lui octroyait la Commune de Paris, le cordonnier Antoine Sion l’attendait : la femme Simon se tenait près de son mari. On leur livra aussitôt le jeune Prince, pour lequel un lit était disposé dans la grande chambre. Les Simon couchaient dans de lit de Louis XVI.

Le cordonnier Simon, nouveau geôlier du dauphin au Temple

C’est Chaumette, nommé procureur de la Commune, en décembre 1792, certainement, qui décida de la nomination de Simon : le procureur de la Commune avait lu dans Jean-Jacques qu’Émile « honore beaucoup plus un cordonnier qu’un empereur », ce qui le flattait, lui-même étant fils d’un cordonnier de Nevers.
Puis, il avait des projets sur le « louveteau » ; « Je veux lui faire donner quelque éducation, disait-il, je l’éloignerai de sa famille pour lui faire perdre l’idée de son rang. » [Il] était extrêmement difficile de rencontrer un homme assez dénué de préjugés pour assumer la besogne que souhaitait Chaumette et assez solide patriote pour résister à toutes les séductions des royalistes. Or, Simon avait fait ses preuves : fréquemment de garde au Temple, avant et depuis la mort de Louis XVI, il était de ceux, très rares, que le contact des prisonniers n’avait jamais attendris.

Simon était un brutal ; mais rien n’indique qu’il fût un monstre de férocité, rien n’autorise à croire aux tortures systématiques, aux coups de trique .

Les anecdotes vraies qu’on a pas voulu raconter, dans la crainte de dépoétiser le jeune roi, sont bien plus tragiques que les que les phrases sublimes et légendaires qu’on lui prête gratuitement en réplique aux coups et aux jurons de son bourreau. J’en sais une, d’une authenticité irrécusable, qu’a noté Daujon, un témoin oculaire, je n’y change qu’un mot, trop brutal pour être imprimé : « Je jouais un jour avec lui [le dauphin] à un petit jeu de boules ; c’était après la mort de son père, et il était séparé de sa mère et de sa tante. La salle où nous étions était au-dessous d’un des appartements de sa famille, et l’on entendait sauter et comme traîner des chaises, ce qui faisait assez de bruit au-dessus de nos têtes. Cet enfant dit, avec un mouvement d’impatience : “Est-ce que ces sacrées salopes-là ne sont pas encore guillotinées” ? Je ne voulus pas entendre le reste, je quittai le jeu et la place. »  L’anecdote est effroyable, et ce qu’elle donne à deviner est plus triste encore.

Parmi les rares déductions qu’on peut tirer des faits connus, il est avéré que Simon n’exerça ses fonctions qu’à contre-cœur. La peur sans doute, d’une réaction que chacun prévoyait, amena en lui ce revirement inattendu. Ce qui est certain c’est que le « précepteur de Capet » donna brusquement sa démission .
Cet homme n’était donc pas la brute impitoyable qu’on nous a si souvent décrite .

L’enfant du Temple. Enlevé à la faveur du déménagement des Simon

Quoi qu’il en soit, les Simon déménagèrent : c’était le dimanche 19 janvier 1794, par un temps sombre de dégel, le ciel bas, une brume humide et tiède. Toute la journée, ce fut, dans l’escalier de la Tour, un va-et-vient insolite : portes ouvertes, Marie-Jeanne Simon comptait son linge, descendait au corps de garde, trottinait dans les cours toutes boueuses de neige fondue, tassait ses hardes sur une charrette, remontait péniblement et geignant contre la lâcheté des hommes qui ne pensent qu’à se divertir : ceci visait Simon qui payait la goutte à tout le personnel du Temple . Le conducteur de la charrette arrêtée au bas de la Tour, touché de la peine que prenait la femme Simon , s’offrit à lui donner un coup de main. Ce conducteur s’appelait Genès Ojardias. La femme Simon accepta l’offre de service que lui faisait Ojardias : celui-ci monta au second étage de la Tour un cheval de carton apporté dans la charrette – un cadeau que la femme Simon voulait laisser à son petit dauphin : ce cheval était sans doute un de ces coursiers à jupe dans lesquels un homme entre tout entier.  Tandis que la Simon faisait le guet, il tira du jouet un enfant qui y était caché, endormi au moyen d’un narcotique et couvert d’habillements semblables à ceux dont on avait, ce jour-là, revêtu le dauphin. Ojardias, vivement, assit cet enfant, tout endormi, sur une chaise, prit le Dauphin, le roula dans les draps du lit, le recouvrit d’un paquet de hardes et descendit le  jusqu’à la charrette, sous couleur d’aider la Simon.

L’enfant du Temple. Une évasion vraisemblable

Les choses se sont-elles passées de la sorte ? C’est ainsi, du moins, que la femme Simon les raconta, onze ans plus tard, à l’un des faux dauphins en qui elle avait cru reconnaître son pupille du Temple. Ainsi présentée, l’évasion est vraisemblable : et ces circonstances concordent assez bien avec des déclarations qu’on ne peut mettre en doute. […]. Résumons-en rapidement les phases : le 1er janvier 1794, le Dauphin est enlevé du Temple. Quatre personnes seulement sont du secret : l’impresario (Chaumette, Hébert ) ; puis les trois agents d’exécution : Simon, sa femme et Ojardias. Chaumette et Simon sont guillotinés avant d’avoir pu se targuer de ce qu’ils ont fait. Restent donc de la délivrance du prince, la femme Simon et Ojardias. [Ce dernier sera assassiné], la femme Simon survécut assez à la Révolution pour que son témoignage ait pu être recueilli. Il le fut bien des fois : réfugiée à l’hospice des Incurables de la rue de Sèvres, depuis le 12 avril 1796, elle ne cessa de raconter, avec prudence d’abord, puis avec une conviction obstinée « qu’elle avait saisi l’occasion de son déménagement du Temple pour emporter le Dauphin […]. G. Lenôtre

Il resterait ici à poser la question angoissante, la question dont la solution semble reculer et fuit à mesure que l’on s’efforce de la dégager :
Qu’est devenu le Dauphin évadé du Temple ? Ici, tout est mystère et obscurité :
Des 25 ou 30 prétendants qui se présentèrent dans la première moitié du XIXe siècle pour réclamer le trône du roi Louis XVI leur père, bien peu sont dignes de mention.

Aujourd’hui ,un des multiples prétendants vient de faire un simulacre de sacre, en se faisant nommer Henri V de la Croix, copiant ainsi les prophéties de Marie Julie.
Cet homme, italien d’origine, n’a rien à voir avec les Capétiens , tout comme le duc d’Anjou, prétendument Louis XX. Le vrai descendant de Louis XVII sera dévoilé pendant la 3 e guerre mondiale, quand plus personne n’osera se dire descendant de Louis XVI à cause du danger en ce temps. Les archives du Vatican possèdent ce secret signé de la duchesse d’Angoulême.
Lui, le roi, homme consacré, le fera pour ramener la France à Dieu. Tous les autres fuiront devant le danger.

Plutôt que regarder les vidéos fantasmagoriques des Youtubeurs professionnels annonçant l’Avertissement en Avril et l’Antichrist en Juin, lisez attentivement les deux ouvrages des révélations de Notre Dame de la Réparation . Les faux prophètes paieront très cher leurs inventions ridiculisant les vraies révélations.

Le Roi choisi par Dieu viendra sauver la FRANCE quand on la croira perdue, en 2028-2029 après l’Avertissement. (?).

L’Armée des Coeurs Croisés saura le recevoir, l’entourer et le protéger !

« In hoc Signo Vinces »
Vive
le Christ VRAI  ROI de France !

Mont-Joie Saint-Denis, Vive  le BON ROI choisi par Dieu !

Pour les COEURS Croisés

Jean Stiegler

Le samedi 19 avril, à 14h nous ferons les prières des Coeurs Croisés au monument du Comte de Chambord à Sainte Anne d’Auray et dans toute la France

1er Mystère joyeux : l’Annonciation.
Demandons la grâce de la Lumière pour être bien guidés

Garde JOIE, mon enfant garde LA JOIE DU CŒUR car TON Jésus LE CŒUR travaille à TA Victoire.

Chaque enfant doit garder LA JOIE en SON cher cœur uni AU SACRE-CŒUR. C’est L’AMOUR qui est GUIDE quand LA JOIE est DIVINE.

Chantez L’AMOUR DIVIN ! Chantez LA JOIE D’AIMER ! Chantez LA LIBERTÉ ! Chantez, enfants, chantez !

Alpha et Omega, Moi, LE PUISSANT SOLDAT Je suis l’Amour en Croix, Je suis le DIVIN Roi.

 2e Mystère Joyeux : La Visitation
Demandons la grâce d’une grande bonté

 Soyez bons, chers enfants, ayez de la bonté pour vos frères non croyants, ayez de l’indulgence pour vos frères qui ignorent que L’AMOUR est une FORCE qui gagne contre LA HAINE, car DIEU-PÈRE est à l’œuvre pour faire ŒUVRE de PAIX, dans ce temps qui ignore Son Seigneur Créateur. Dieu Père vient

donner PAIX.

Mystère Joyeux: La Nativité

demandons la grâce de la naissance d’une France chrétienne 

Si descendance du Grand Roi est choisie pour redresser LA France ce n’est pas par hasard mais passant AU DÉSERT les enfants descendant DU BON ROI ont choisi de laisser Dieu choisir le moment Du Retour D’UN BON Roi pour la France. Passant par LE DÉSERT c’est donc bien affûté aux tentations du MAL que CE ROI pourra dire combien IL peut aimer LA France et les enfants de France.

4e Mystère Joyeux : La Présentation de l’enfant Jésus au Temple 

demandons la grâce de la purification de nos pensées et de notre vie Marie en bonne mère écoute ses chers enfants et les rejoint toujours au plus dur de leur vie, Marie est à L’ÉCOUTE des cœurs de ses enfants et en bonne maman, ELLE vient les secourir quand ils ne savent pas voir, dans leur vie LA LUMIÈRE.

Marie reçoit toujours toutes vos douces prières. Et, même celles qui tempêtent, après les coups du sort des enfants ordinaires. Marie est BONNE mère et en BONNE maman, ELLE comprend les enfants quand ils crient de douleur, quand ils crient vers LE PÈRE. Marie est BONNE mère et en BONNE maman, ELLE écoute LA Clameur qui monte de LA TERRE, qui monte vers lePère.5e Mystère Joyeux : Le  recouvrement de Jésus au Temple  demandons la grâce de l’apostolat  par Jeanne d’Arc

Enfants de MON AMOUR, donnez-Moi votre vie ! Enfants de MA TENDRESSE laissez-Moi donc tout faire et diriger vos vies. Enfants, enfants que J’aime, J’ai besoin de vos « oui » Pour sauver LA PATRIE de Jeanne et de Clovis et puis ainsi pouvoir sauver MA Noble Terre. Ô enfants, ô mes

roses, donnez-vous à Marie, votre Mère saura faire avec le Père Joseph construction de vos jours puisque vous les donnez à Dieu Miséricorde.

Pour faire partie des Coeurs Croisés, il suffit de prier chaque jour avec la brochure de prières dictées par le Christ, et de persévérer sans nous lasser, Dieu nous le demande. en vente aux Ed. Résiac 0243010126

Pour commander le livre de Debora « Visions et prophéties » et
pour les guérisons, obtenir de l’huile sainte de MANDURIA,
venant de Debora : NOMBREUSES GUERISONS MIRACULEUSES…
Contacter le Père Gianni au 06 16 07 82 72
ou bien par lettre à l’adresse suivante : 22 rue Wilsberg 67270 GINGSHEIM
ou encore par email : gianninodigesuemaria@gmx.fr

Pour faire célébrer des messes et aider en même temps une communauté de prêtres africains,

Abbé KATEMBO SIVANZIRE Sylvestre Tél : +243 975 37 35 41.1°) ENVOYER vos honoraires de messe par virement bancaire en Belgique, ce correspondant fera suivre au Père Sylvestre au Congo : pas de chèque.
bien préciser « honoraires de messes »:
100 E le Trentain, 40 euros la neuvaine, 5 euros la messe.
Iban : BE75363114092551 BIC : BBRUBEBB
Dr Kahindo Kivyamunda (Professeur d’université)

43, rue Ninovestraat 9320 Erembodegem Belgique

2°) Bien préciser votre adresse mail , vos intentions et vos coordonnées directement AU PERE SYLVESTRE par mail au Congo, il vous répondra. Cliquez sursivanziresylvestre@gmail.com
 100 E le Trentain, 40 euros la neuvaine, 5 euros la messe.

«

LES SOLDATS FREDONNENT:

Dieu est Miséricorde
et pardon Il m’accorde
Alors moi petit rien
j’avance pour le roi
que Le SEUL ROI envoie.

Et je chante pour La France
sachant qu’Elle reviendra
à LA Croix à Marie
et qu’ainsi Elle sauvera
les enfants de DIEU-ROI.

C’est pourquoi j’abandonne
ma vie mon cœur mon âme
a Dieu Seul Créateur
pour servir ou périr.

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