LE SACRE DU ROI EN FRANCE (suite)

335e lettre aux Coeurs Croisés

Prochaine lettre le 19  Septembre après une semaine de pause
étant en voyage.

LE SACRE DU ROI EN FRANCE (Suite)

Chers Amis,

Alors que la constitution de la 5e république montre ses limites, mettant le pays dans l’instabilité chronique, il est grand temps de réfléchir sur ce qui a permis à la monarchie de construire la nation la plus riche et la plus puissante d’Europe pendant 1528 ans, jusqu’en 1789.

Les règles morales et religieuses donnaient un code de conduite aux français, permettant ainsi de penser, d’agir et de vivre dans une harmonie toujours à améliorer, mais sur des bases sociales et spirituelles leur assurant la protection et l’aide divine.

Aujourd’hui, le peuple ayant délaissé l’espérance en Dieu, n’a plus que la croyance dans le pouvoir d’achat, la possession de biens matériels, et une vie confortable dans les loisirs. Le culte du Veau d’or est revenu…La désillusion arrive alors dans le chaos engendré par les profiteurs et les dirigeants, incapables de transmettre des valeurs fortes, stables et équilibrées : le château de cartes s’effondre dans les crises tous azimuts…

Que signifie le sacre du roi que Jeanne d’Arc désirait avant tout, selon les volontés du ciel ?
Extraits de « La Nouvelle France » Ed Résiac. 

LES ROIS D’ISRAËL, CHOIX DE DIEU

Le mot «sacré» désigne tout ce qui est soustrait à l’usage ordinaire, pour être réservé exclusivement au culte. Est sacré ce qui touche au sanctuaire, au Temple, à la Présence de Dieu au milieu des hommes, objet, lieux ou personne humaine.

Dieu révèle à Moïse que «la montagne du Sinaï est une terre sa- crée», (Ex 3, 5), Jérusalem (Jl 4, 17), le mont Sion (Ab 17), l’Arche d’Alliance, le Temple (S 9, 8).

Dieu le Père établit la royauté sur Israël, comme étant la forme de gouvernement la plus naturelle, la plus parfaite, et celle qui pouvait le mieux assurer la paix et la durée de l’Etat. Jésus, Fils de Dieu, né de la Vierge Marie et de l’Esprit Saint, ne pouvait prendre chair que dans la famille royale de David, dont étaient issus Joseph et Marie, afin d’accomplir la promesse du Messie, sauveur du peuple Juif, peuple élu, car fidèle au Dieu unique Yahve.

Pour établir la royauté devant gouverner le peuple d’Israël, Dieu prépara la race royale qui devait donner naissance plus tard à Son Fils, en désignant le roi par élection divine :

«Vous établirez celui que le Seigneur votre Dieu aura choisi du nombre de vos frères»

Aussi, ordonne-t-il à Samuel de sacrer Saül, de la maison d’Isaïe.

Pour bien montrer à quel point la grâce du Sacre est efficace, Il choisit un simple pâtre sans instruction et sans intelligence :

Samuel prit une petite fiole d’huile qu’il répandit sur la tête de Säul, il le baisa et lui dit :«C’est le Seigneur qui par cette onction vous sacre prince sur son héritage» (I Rois 10, 1).
Samuel ajoute à Saül :

«En même temps, l’Esprit du Seigneur se saisira de vous, et vous serez changé en un autre homme» (I Rois 10, 6).

QUE SIGNIFIE LE SACRE ?

Le sacre est le lien qui unit le roi à Dieu et le canal par lequel la puissance, l’assistance et le rayonnement de la majesté divine se communiquent au roi, au moment où il devient l’oint du Seigneur «personne sainte et sacrée» (I Rois 9, 15 à 17 et 10, 1…)

Il n’est donc pas nécessaire que le roi soit un homme de génie, puisque Dieu supplée aux qualités qui lui manquent par la vertu du Sacre. Aussi Saül est-il vainqueur en toutes circonstances, réalisant cette grande prophétie d’Isaïe pour tous les temps :

«Le joug tombera en pourriture en présence du Sacre».

Voilà la raison essentielle de l’ordre donné à Jeanne d’Arc, de faire sacrer Charles VII à Reims, tout de suite après la délivrance d’ Orléans.

Par la vertu du Sacre, le roi reçoit de Dieu les capacités surnaturelles dans l’art de gouverner son royaume.

Le Livre des Rois (I Rois 10, 9) constate «Dieu lui changea le cœur et lui en donna un autre».

Mais Saül s’étant arrogé, en plus de ses droits temporels, les droits du sacerdoce, il est rejeté pour sa présomption. Dieu donne l’ordre à Samuel «de prendre l’huile sainte, et d’aller à Bethléem où il s’est choisi un Roi parmi les enfants d’Isaïe : le plus jeune des dix frères, David.

«Sacrez le présentement car c’est lui que J’ai choisi.»

Ainsi du vivant même de Saül, David est le seul Roi légitime, et pourtant il est inconnu de tous, hors Dieu, le Grand Prêtre et sa famille. Il est le Roi caché que Dieu ne veut pas faire connaitre encore, afin de le préparer à sa mission future, et de le mettre à l’abri de ses ennemis jusqu’au jour fixé par la Providence pour l’accomplissement de sa mission.

Exactement ce qui se passe aujourd’hui pour le descendant de Louis XVII, le roi caché par la Providence, en vue de sa mission à venir, à la chute de la république française.

«Dès lors, David est rempli de l’Esprit Saint ; tout ce qu’il entreprend réussit, et seul, il peut arrêter la folie de Saül, dont Dieu s’est retiré pour faire place à Satan. L’esprit de David, en effet, étant «uni par le sacre à l’Esprit de Dieu, devient supérieur à l’esprit mauvais, et se trouve par ce secours en position de dominer et de le vaincre».

Voilà pourquoi l’institution de la Royauté a une si grande importance, et que Dieu a voulu, ainsi que le constate l’Ecriture, y mettre lui-même, la main» (Le Sacre des rois, Jean Pierre Bayard)

LE SACRE EN FRANCE

Le Sacre du roi de France s’inspire du choix et du droit divin, comme le sacre des rois d’Israël.

Ce sacrement a pour but de séparer le profane du sacré, et de réserver la personne du roi par la grâce de Dieu, au service de la nation, avec l’aide de l’Esprit Saint.

Dans le nouveau Testament :

«Jésus-Christ, Roi des rois, est le principe de toute royauté, puisque tout pouvoir émane de LUI» (comme Melchissedec dans l’Ancien Testament).

Au nom du Christ, Roi des rois, l’Eglise oint l’élu de Dieu, du saint chrême de la Sainte Ampoule, reçue de Dieu par l’évêque Rémi lors du Sacre de Clovis.

L’administration du sacre royal est réservé en France, à l’archevêque de Reims.

«L’onction royale fait du roi, l’homme du Christ» écrit Jean de Pange, et Jeanne d’Arc traduit cette pensée en disant à Charles VII : «Vous serez le lieutenant du roi des Cieux qui est Roi de France».

La légitimité se fonde sur la consécration religieuse. L’Eglise af- firme ainsi, qu’elle ne couronne que celui qui peut valablement régner ; elle légitime le roi, le désigne comme seul possesseur du trône. Cette onction royale, symbole de la Grâce et de l’assistance de Dieu, est voulue par Jeanne d’Arc pour Charles VII.

Dès la première entrevue à Chinon avec le dauphin, Jeanne lui affirme que le royaume de France appartient à Dieu, et fait enregistrer par greffier devant Charles VII, un acte de donation écrit, par lequel le roi remet son royaume à Jeanne, qui le rend à Dieu, à qui il appartient de Droit. Dieu le donne alors en gérance au roi Charles, au nom de Dieu. Le roi devient le vicaire de Jésus Christ. Le baume miraculeux de la sainte ampoule lui donne un pouvoir, qui le place au-dessus des autres hommes, lui assurant l’assistance de l’Esprit Saint dans la gouvernance du royaume. Les seigneurs lui doivent obéissance et respect.

«Celui qui est oint se place sous la dépendance du Seigneur. Il devient un «Christ», terme qui veut dire «oint» ; on doit respecter sa vie selon le principe de la théocratie juive, mais le prince ne devient véritablement roi qu’après son couronnement.

Le roi reçoit son autorité de Dieu, représenté par l’Eglise.»

Sous l’impulsion de Jeanne d’Arc, nait un véritable sentiment de patriotisme français, qui renforce la légitimité dynastique dans la succession au trône. C’est ce qu’affirme Jeanne lors son hommage à Charles VII, en s’agenouillant et pleurant à chaudes larmes, entourant de ses bras les genoux du roi, «faisant grande pitié à tous les capitaines», après le Sacre :

«gentil roi, or est exécuté le plaisir de Dieu qui voulait que je le- vasse le siège d’Orléans, et vous amenasse dans cette cité de Reims recevoir votre Saint Sacre, en montrant que vous êtes vrai roi, et celui auquel le royaume de France doit appartenir.»

La Loi Salique prévoit que la succession au trône se fait de mâle en mâle, selon le principe de primogéniture, pour empêcher le morcellement du royaume.

«La succession par principe d’hérédité ne s’établit dans le royaume des FRANCS, qu’à partir du IXe siècle.

Les premiers Capétiens agissent comme David, faisant sacrer Salomon de son vivant ; il s’agit de rendre inattaquable la dynastie naissante».

LA SIGNIFICATION DU SACRE DE 496 À 1789

Le sacre français se déroule selon un rituel codifiant la cérémonie revue par Charles V, qui établit un Ordo Coronationis en 1365.

Le sacre est en France la consécration nécessaire de l’ autorité royale. «Gentil dauphin» disait Jeanne d’ A rc à Charles VII tant qu’il ne fut pas sacré»…

Le sacre du roi est un sacrement de l’Eglise réservé à l’héritier légitime du trône. C’est une consécration religieuse qui donne au roi la mission de défendre l’Eglise du Christ, de faire que ses peuples respectent l’Eglise et mettent en pratique les lois divines des Evangiles.

«Le peuple chrétien le considère comme l’élu de Dieu, l’oint du Seigneur ; la source des droits donnés par Dieu lui arrivent par la naissance. De son côté, le souverain accepte sa fonction comme un mandat. Il régne au nom du TOUT-PUISSANT, en vertu d’une délégation officielle.

II y a plus encore : un lien religieux se forme entre le Roi et son Royaume, pour s’adjoindre à celui du droit héréditaire. Leur union devient ainsi plus forte et plus féconde.

Le Roi appartient à la France et la France appartient au Roi. Le Roi lui doit le service d’un gouvernement ferme, sage et chrétien.

La France lui donne toute sa fidélité et son dévouement. L’Eglise en consacrant cette union lui donne un nouveau droit et respect public, ceux qui tenteraient de le rompre se rendraient coupables d’un sacrilège. Le sacre fait du prince un homme ecclésiastique, sa souveraineté apparaît comme une fonction sainte.»

LA VILLE DU SACRE

Reims est la ville du sacre. C’est une mission que la Providence lui donne. Elle y est préparée par son histoire. Le baptême de Clovis a désigné Reims dès le début de la fondation de la fille aînée de l’Eglise. Hugues Capet y reçut l’onction royale. 48 rois sur 64, furent sacrés à Reims.

Le Roi «Très Chrétien», ainsi que le note Jean de Pange, «s’élève au-dessus de l’ordre national : il participe de la royauté universelle du Christ»

Jonas évêque d’Orléans, écrit en 831 «De Institutione regia» : «L’autorité royale est d’origine divine».

L’éminent bénédictin Dom Besse, expose la signification du sacre :
«Le Roi prend possession de son trône le jour du sacre. Jésus-Christ lui confère dans la basilique de Reims l’investiture du royaume. Il reçoit de Dieu les aptitudes au gouvernement. Nous les appelons, dans la langue chrétienne les grâces d’état. Un caractère sacré s’imprime sur toute sa personne, il en fait un être à part, un consacré.

La veille du Sacre, jour le plus important de sa vie, le roi se présente devant la cathédrale «pour prier Dieu et demeurer, veillant en oraison tant qu’il lui semblera bon et que sa dévotion le retiendra».

Puis il va dormir au Palais épiscopal. Le lendemain, «les quatre otages» vont chercher la Sainte Ampoule (cassée par le révolutionnaire Rhul, mais recueillie en partie, et conservée dans un reliquaire) à l’Abbaye Saint-Remi, et reviennent à cheval jusqu’à la cathédrale, rejoindre la procession des évêques et des prélats qui entourent le roi, sous les acclamations de la foule.

Arrivant devant la cathédrale, où retentissent les Psaumes, les portes ouvertes à deux battants, la cérémonie commence.

Elle se déroule en trois phases, durant lesquelles les prières se succèdent, ponctuées de musiques bien précises :

– les serments du roi ;

– la bénédiction des insignes royaux, appelés les régalia, au son du TE DEUM : la couronne, le sceptre, les éperons d’or, la main de justice, l’épée ;

– l’onction

Cette dernière phase est la plus importante.
L’onction est le sacrement qui fait passer le roi du statut de simple homme, à celui de consacré par Dieu. Le roi et l’archevêque se prosternent côte à côte devant l’autel, pendant que le choeur entame les litanies. Ensuite, l’archevêque marque le roi avec l’huile sainte en six endroits : sur la tête, les épaules, la poitrine, et la jointure des bras.

Revêtu seulement d’une chemise, le roi revêt alors la tunique et la chape de soie.

L’archevêque procède ensuite à une nouvelle onction sur les mains du roi qui enfile les gants, et par-dessus, au doigt, l’anneau symbolisant l’union entre le souverain et son peuple.

Puis vient le couronnement :

Les douze pairs tiennent la couronne au-dessus de la tête du roi pendant qu’il est conduit au trône.

Elle est ensuite placée sur sa tête.

Assis sur son trône, oint et portant la couronne et les attributs de sa puissance, le roi apparaît alors au peuple en «Majesté royale».

«Et à l’heure que le roi fut sacré, et aussi quand on lui assit la couronne sur la tête, tout homme cria «Noël !» (Noël veut dire «joie»). Et les trompettes sonnèrent de telle manière qu’il semblait que les voûtes de l’église dussent se fendre»…

L’archevêque et les pairs se prosternent alors l’un après l’autre devant Sa Majesté en signe d’hommage…

Le soir après le festin royal, le roi accompagné de la reine, se promène sans garde au milieu de son peuple, et s’entretient avec les uns et les autres, comme un père au milieu de ses enfants ; le peuple peut l’approcher et lui parler sans protocole.

LA GUÉRISON DES ÉCROUELLES

Le troisième jour après le Sacre, le roi partait en pèlerinage à la chasse de Saint Marcou, où les malades atteints du mal des écrouelles (adénites tuberculeuses) se mettaient en ligne, à genoux.

Le souverain les touchait, en faisant le signe de Croix sur leur front, au menton, et d’une joue à l’autre en disant «le roi te touche, Dieu te guérit».

Le roi devait être en état de grâce, et avoir communié le jour même, pour pouvoir exercer sa bienfaisante prérogative.

Claude de Seyssel, Archevêque de Turin, affirmait que «ce privilège n’est pas accordé à tel ou tel de nos rois, à titre personnel, mais exclusivement à la fonction de Roi de France, quel qu’en soit le détenteur, dès qu’il est l’héritier légitime de la Couronne et qu’il a été sacré».

extraits du 1er tome « Seul l’Amour sauvera le troisième millénaire ».

Le Signe de Dieu révélant bientôt le vrai roi de France : La Croix au pré Carré

«Fiers soldats de l’Amour gardez Paix En vos cœurs au milieu des tourments
Mettez genoux à terre en tenant Droite La Croix
c’est l’épée du combat c’est La force du roi que Dieu a désigné
Et c’est au pré Carré que se dresse
La Croix qui désigne LE roi.»

«Où se situe le Pré Carré ? Au pied de Jeanne d’Arc, à Sainte
Anne d’Auray, au monument du Comte de Chambord ? A Paris Saint Denis ? En France ailleurs ? Dieu Seul le sait… CONFIANCE ET ABANDON….»

(3) Extrait de l’ouvrage “Seul l’Amour sauvera le 3e Millénaire” – Tome 1, p. 100.

Le chapelet joyeux que nous ferons samedi 7 septembre au monument du Comte de Chambord à Sainte d’Auray ainsi que dans toute la France:

1er Mystère Joyeux : L’Annonciation 

demandons la grâce de la Foi en la Victoire de Marie sauvant la France

Enfants, enfants mes fleurs, enfants de Mon Royaume, croyez que c’est pleurant que Je dois vous soumettre AU MYSTÈRE de LA CROIX. Ne pleurez pas enfants, sur LA TEMPETE qui vient, laissez-vous emporter par LE VENT et LA HOULE, laissez-vous embarquer sur LE NAVIRE de GUERRE de Marie LA Madone : ELLE saura quoi faire. Vivez par le Bréviaire, vivez pour Dieu- LE-Père. Osez aimer prier et LA Terre est sauvée. Osez tout accepter de vos vies simplement, osez enfants aimés, osez abandonner chaque jour votre vie et MOI, DIEU, qui vous fais, Je pourrai TOUT sauver, simplement par L’AMOUR que vous aurez donné. Moi, DIEU, SEUL, Je vous sauve.

2e Mystère Joyeux : La Visitation  

demandons la grâce d’une  grand bonté  

Osez, chers doux enfants, faire fi de vos griefs et marchez pour contrer VOTRE VIL ENNEMI. L’AMOUR et LA PRIÈRE, c’est LA SEULE SOLUTION pour empêcher LA GUERRE.

Osez, chers doux enfants prier Mère Marie : ELLE a POUVOIR par Père de faire cesser LA

GUERRE.3e Mystère Joyeux: La Nativité

demandons la grâce de la naissance d’une France chrétienne 

Si descendance du Grand Roi est choisie pour redresser LA France ce n’est pas par hasard mais passant AU DÉSERT les enfants descendant DU BON ROI ont choisi de laisser Dieu choisir le moment Du Retour D’UN BON Roi pour la France. Passant par LE DÉSERT c’est donc bien affûté aux tentations du MAL que CE ROI pourra dire combien IL peut aimer LA France et les enfants de France.

4e Mystère Joyeux : La Présentation de l’enfant Jésus au Temple 

demandons la grâce de la purification de nos pensées et de notre vie Marie en bonne mère écoute ses chers enfants et les rejoint toujours au plus dur de leur vie, Marie est à L’ÉCOUTE des cœurs de ses enfants et en bonne maman, ELLE vient les secourir quand ils ne savent pas voir, dans leur vie LA LUMIÈRE.

Marie reçoit toujours toutes vos douces prières. Et, même celles qui tempêtent, après les coups du sort des enfants ordinaires. Marie est BONNE mère et en BONNE maman, ELLE comprend les enfants quand ils crient de douleur, quand ils crient vers LE PÈRE. Marie est BONNE mère et en BONNE maman, ELLE écoute LA Clameur qui monte de LA TERRE, qui monte vers lePère.
5e Mystère Joyeux : Le  recouvrement de Jésus au Temple  demandons la grâce de l’apostolat  par Jeanne d’Arc

Enfants de MON AMOUR, donnez-Moi votre vie ! Enfants de MA TENDRESSE laissez-Moi donc tout faire et diriger vos vies. Enfants, enfants que J’aime, J’ai besoin de vos « oui » Pour sauver LA PATRIE de Jeanne et de Clovis et puis ainsi pouvoir sauver MA Noble Terre. Ô enfants, ô mes

roses, donnez-vous à Marie, votre Mère saura faire avec le Père Joseph construction de vos jours puisque vous les donnez à Dieu Miséricorde.

 … «soyez sages

Attendez Signe de Dieu pour mettre genoux à terre Devant roi qui s’avance
Seul Dieu désigne le roi»

 

«Soyez sages mes enfants Ne cherchez pas le roi
Ne le désignez pas
Seul Dieu désignera le bon roi de SON choix
Si parmi vous s’avance un roi qui se désigne
Acceptez qu’il soit là potentiel roi de Droit

Et puis enfants priez
Et puis surtout priez
Pour que Dieu vous désigne Celui qu’Il a choisi
Seul Dieu décide du roi
Seul Dieu dira le roi
En attendant priez pour protéger le roi que Seul Dieu désignera
Seul Dieu décide du roi…»

«L’heure vient de réveiller les enfants De la France et leur dire simplement Un roi vient en Sa France un roi vient
soyez prêts à recevoir le roi Que LE SEUL ROI désigne…

REINFORMATION

Le film Miracles sera projeté à Vannes à 20h le 19 septembre à l’espace Montcalm rue Mgr Tréhiou 

 A voir+++ sur les mystères et les découvertes scientifiques sur le Saint Suaire, la tunique de ND de Guadalupe, Fatima  

-Pour commander le livre de Debora « Visions et prophéties » et

pour les guérisons, obtenir de l’huile sainte de MANDURIA,

venant de Debora :

Contacter le Père Gianni au 06 16 07 82 72
ou bien par lettre à l’adresse suivante : 22 rue Wilsberg 67270 GINGSHEIM
ou encore par email : gianninodigesuemaria@gmx.fr

-Pour faire célébrer des messes et aider en même temps une communauté de prêtres africains,

Abbé KATEMBO SIVANZIRE Sylvestre Tél : +243 975 37 35 41.1°) ENVOYER vos honoraires de messe par virement bancaire en Belgique, ce correspondant fera suivre au Père Sylvestre au Congo : pas de chèque.
bien préciser « honoraires de messes »:
100 E le Trentain, 40 euros la neuvaine, 5 euros la messe.
Iban : BE75363114092551 BIC : BBRUBEBB
Dr Kahindo Kivyamunda (Professeur d’université)

43, rue Ninovestraat 9320 Erembodegem Belgique

2°) Bien préciser votre adresse mail , vos intentions et vos coordonnées directement AU PERE SYLVESTRE par mail au Congo, il vous répondra. Cliquez sur : sivanziresylvestre@gmail.com
 100 E le Trentain, 40 euros la neuvaine, 5 euros la messe.

Pour faire partie des Coeurs Croisés, il suffit de prier chaque jour avec les prières dictées par le Christ pour la France et le roi dans la brochure « Prières de l’Armée des Coeurs Croisés

Ed Résiac téléphone 02 43 01 01 26

LES SOLDATS FREDONNENT:

Dieu est Miséricorde
et pardon Il m’accorde
Alors moi petit rien
j’avance pour le roi
que Le SEUL ROI envoie.

Et je chante pour La France
sachant qu’Elle reviendra
à LA Croix à Marie
et qu’ainsi Elle sauvera
les enfants de DIEU-ROI.

C’est pourquoi j’abandonne
ma vie mon cœur mon âme
a Dieu Seul Créateur
pour servir ou périr.

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