Les dernières promesses du Christ à Sainte Faustine et Madeleine à Dozulé

Le sixième jour, à Sœur Faustine :

“Aujourd’hui, amène-Moi les âmes douces et humbles, ainsi que celles des petits enfants et plonge-les dans Ma miséricorde. Ce sont elles qui ressemblent le plus à Mon cœur. Elles m’ont réconforté dans Mon amère agonie.

Je les voyais veiller sur Mes autels comme des anges terrestres. Sur elles, Je verse des torrents de grâces.
Ma Grâce ne peut être reçue que par des âmes pleines d’humilité. Ce sont ces âmes en qui Je mets Ma confiance.”

À Madeleine :

Le sixième jour : « Je recevrai dans la demeure de Mon cœur les enfants et les âmes humbles, afin qu’ils gardent une affection spé-ciale à Notre Père des cieux. »

Remarquons que dans la troisième promesse Jésus disait « Je garderai PRES de Mon cœur les âmes pieuses et fidèles » mais dans la sixième promesse, Il affirme « Je recevrai DANS LA Demeure de Mon cœur… » Il vaut mieux DANS la demeure de Son Cœur, que près de son Cœur, non ?

Le septième jour, à Sœur Faustine :

“Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui vénérèrent et glorifièrent particulièrement Ma miséricorde, et plonge-les en elle.

Ces âmes ont le plus partagé les souffrances de Ma passion.

Ce sont elles qui ont pénétré le plus profondément en Mon âme. Elles sont le vivant reflet de Mon cœur compatissant. Ces âmes brilleront d’un éclat particulier dans la vie future. Aucune n’ira en enfer. Je défendrai chacune d’elles, en particulier à l’heure de la mort.”

À Madeleine :

Le septième jour : « Je comblerai de grâces de toutes sortes ceux qui, connaissant Mon message, persévéreront jusqu’au bout. »

Le Message de Dozulé est bien la réalisation de la miséricorde de Dieu, et tout homme qui le fera connaître aux autres sera comblé de grâces de toutes sortes !

Le Message est l’instrument de la Miséricorde divine puisqu’il révèle aux âmes qu’en venant se repentir au pied de la Croix Glorieuse “en un instant elles seront lavées de tout un passé de souillure”.

Dozulé est la porte du Ciel, la porte de la Nouvelle Jérusalem :

“Heureux ceux qui lavent leur robe ; ils pourront disposer de l’Arbre de Vie, et pénétrer dans la Cité par les portes” (Ap 22, 14).

Le huitième jour, à Sœur Faustine :

“Aujourd’hui, amène-Moi les âmes qui sont au Purgatoire et plonge-les dans l’abîme de Ma miséricorde. Que les flots de Mon sang rafraîchissent leurs brûlures. Toutes ces âmes Me sont très chères, mais elles Me rendent justice.

Il est en ton pouvoir de leur apporter quelques soulagements.

Puise dans le trésor de Mon Église toutes les indulgences, et offre-les en leur nom.

Oh ! Si tu connaissais leur souffrance, tu offrirais sans cesse en leur nom l’aumône de tes prières et tu paierais leurs dettes à Ma justice.”

À Madeleine :

Le huitième jour : Je soulagerai les âmes du Purgatoire.

Mon sang éteindra leurs brûlures.
Si l’on savait voir et sentir les souffrances de ces âmes privées de la vision divine, on aurait pitié et on prierait pour elles chaque jour. 

Le neuvième jour, à Sœur Faustine :

“Aujourd’hui, amène-Moi les âmes indifférentes et froides et plonge-les dans l’abîme de Ma miséricorde.

Ce sont ces âmes-là qui blessent le plus douloureusement Mon cœur.

Ce sont elles qui, au Jardin des Oliviers, M’inspirèrent la plus grande aversion. C’est à cause d’elles que J’ai dit : “Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de Moi.” Pour elles, l’ultime planche du salut est de recourir à Ma miséricorde.”

À Madeleine :

Le neuvième jour : Je réchaufferai les cœurs les plus endurcis, les âmes glacées, celles qui blessent le plus profondément Mon cœur.

Chacun peut constater que les promesses faites à Sœur Faustine et à Madeleine sont exactement les mêmes.

Toutefois, le Christ ne dévoile pas à Sœur Faustine l’époque où elles se réaliseraient.

Sur son lit de mort, Sœur Faustine prédit :

“Au moment où tout semblera anéanti, ma mission commencera.”

L’ Église a proclamé Sœur Faustine “Sainte” le 30 avril 2000. Sa mission est commencée.