La vérité éclatera très bientôt, et les coupables seront jugés. Nous vivons le temps de l’Apocalypse où tous se font marquer au chiffre de la Bête pour pouvoir acheter et vendre, grâce au passeport sanitaire et le puçage numérique par les vaccins…
Le chapître 13 de l’Apocalypse décrit ce temps du Mal dominant.
Lisez cet admirable réflexion de Benoît XVI et celle de ce prêtre anonyme, ils ne font pas la langue de bois:
« Il y a quelques mois, je me demandais : mais pourquoi donc tant de personnes que je connais et aime, sont-elles aveugles à ce qui « crève les yeux », à savoir la manipulation dont nous sommes victimes ? Une réponse m’est apparue évidente : c’est trop gros, trop sombre ; on doit pouvoir expliquer les choses autrement, etc.La série de réflexions suivante a été rédigée par un prêtre a qui souhaite rester anonyme pour des raisons parfaitement légitimes. Ce qui suit est la dixième partie. La suite sera publiée progressivement à mesure que ses réflexions seront transmises, réflexions qu’il souhaite adresser à toutes les brebis du Christ. Leur but est de nous aider à discerner les dangers de l’époque sans précédent que nous vivons actuellement et de comprendre pourquoi Dieu permet ces dangers et complots contre l’humanité, et comment nous devons y répondre.Lire la précédente partie : Épisode 9 : Vers un désastre mondial et l’imposition de la « marque de la bête »* * *Il y a dix ans jour pour jour, le Pape Benoît XVI faisait un commentaire qui me semble être la clé de cette question. Voici ce commentaire :« Jésus dit aux siens: demeurez ici et veillez ; et cet appel à la vigilance concerne précisément ce moment d’angoisse, de menace, au cours duquel arrivera le traître, mais il concerne toute l’histoire de l’Église. C’est un message permanent pour tous les temps, car la somnolence des disciples était le problème non seulement de ce moment, mais est le problème de toute l’histoire. La question est de savoir en quoi consiste cette somnolence, et en quoi consisterait la vigilance à laquelle le Seigneur nous invite. Je dirais que la somnolence des disciples tout au long de l’histoire est un certain manque de sensibilité de l’âme pour le pouvoir du mal, un manque de sensibilité pour tout le mal du monde. Nous ne voulons pas nous laisser trop troubler par ces choses, nous voulons les oublier : nous pensons que peut-être ce ne sera pas si grave, et nous oublions. Et il ne s’agit pas seulement de manque de sensibilité pour le mal, alors que nous devrions veiller pour faire le bien…
C’est un manque de sensibilité pour Dieu : Telle est notre véritable somnolence ;
Ce manque de sensibilité pour la présence de Dieu qui nous rend insensibles également au mal. Nous ne sentons pas Dieu — cela nous dérangerait — et ainsi, nous ne sentons pas non plus naturellement la force du mal et nous restons sur le chemin de notre confort. [Tout comme les] disciples, [les] défenseurs de Jésus, [les] apôtres… nous ne voyons pas… ne voulons pas voir toute la force du mal, et… ne voulons pas entrer dans sa passion… »— Pape Benoît XVI, Audience générale, 20 avril 2011 ; Vatican.vaEnsuite, je voudrais me résumer. Et terminer le sujet de la progression du mal en vue d’aborder enfin le versant plus lumineux de ce que nous vivons !
Ce qui ne faisait plus pour moi le moindre doute, était que nous approchions fort du règne de l’Antéchrist, c’est-à-dire de celui dont la Bible et les Pères nous révèlent un règne mondial de caractère dictatorial, et déterminé à éliminer tout rappel de la présence de Dieu et du Christ sur terre. Après trois ans et demi (selon la Bible et les Pères de l’Église), « le Seigneur Jésus le détruira du souffle de sa bouche et l’anéantira par l’éclat de sa venue » (2 Th 2, 8)
Ma deuxième constatation fut qu’une société secrète fut créé dans le but d’établir cette dictature et donc d’éliminer tout l’ancien ordre civil, institution appelée franc-maçonnerie, dénoncée comme redoutable par tous les papes depuis le 18e siècle et comme ayant déjà obtenu la quasi-souveraineté du pouvoir civil en Occident à la fin du 19e siècle.
L’Apocalypse nous avertit que sera imposée la marque de la bête, à savoir un signe placé à la main ou au front sans lequel il nous sera impossible d’acheter ou de vendre. Donc, ceux qui auront refusé ce signe, sorte de « passeport », seront exclus de la société. (Le passeport sanitaire va certifier que vous êtes marqués ou non du chiffre de la Bête inclus dans le vaccin par la luciférase détectable avec un smartphone.)
La question principale restait de savoir par quels moyens ils parviendraient à cet objectif diabolique. Comment, en effet, réussir à tromper le monde entier, à obtenir son consentement et à paralyser la résistance de ceux qui ne sont pas trompés ? Surtout, comment faire passer un processus de dictature comme une solution qui apparaisse souhaitable, indispensable même, aux yeux de la majorité de la population ? Il faut terroriser la population et indiquer la dictature comme la seule solution. Ceux qui résistent apparaîtront comme un danger public et seront dénoncés.
Deux voies principales se présentent a priori : soit accentuer la haine, par exemple religieuse, pour provoquer des attaques terroristes ou des guerres civiles justifiant de plus en plus des mesures autoritaires devenues normales ; soit provoquer une épidémie très contagieuse, et mortelle pour certaines catégories, donnant autorisation aux pouvoirs publics de prendre des mesures liberticides, avec d’autres effets collatéraux importants, comme : l’effondrement de l’économie préparant la nécessité d’une dépendance financière envers L’État dictateur, la réduction de la population rendant plus aisé le contrôle de chaque individu. Si, en outre, vous parvenez à entretenir la menace virale, voire à l’accentuer, tout en vous présentant comme la seule solution, vous achevez peu à peu les dernières résistances. Vous contrôlerez aussi l’information dans ce but. Cette deuxième voie, celle des virus et des vaccins, testée depuis longtemps, est la voie à laquelle nous assistons. Nous sommes la génération qui vit en direct les temps de la fin annoncés par l’Écriture.
Les vaccins sont, en ce moment-même, la voie choisie, non pour nous guérir, mais pour nous affaiblir davantage et nous asservir. Puisque, pour beaucoup, la voix de certains grands scientifiques sans « conflit d’intérêt » ne suffit pas à nous convaincre du danger que nous courons et faisons courir en prenant le vaccin (puisque cette voix est contrecarrée par le discours [propagande] puissant des médias, des politiques, des scientifiques gagnés à la cause et que beaucoup se sentent obligés de se faire vacciner pour ne pas perdre un travail, etc.), peut-être les messages prophétiques, assez nombreux aujourd’hui, qui nous mettent en garde contre ces vaccins pourront-ils convaincre certains ? D’un autre côté, « s’ils n’écoutent pas Moïse et les prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts, ils ne seront [toujours] pas convaincus », disait Jésus. Si nous sommes déterminés à ne pas chercher à savoir si c’est bien le Ciel qui nous parle, nous regarderons cela de loin et nous ferons ce que l’État nous dira de faire. Ce sera irrésistible. »