Le lieu du Retour du Christ en Gloire : La NOUVELLE Jérusalem

Madeleine :

La Lumière m’apparaît à la place du Saint-Sacrement, un peu plus large que d’habitude.
Je fais aussitôt le Signe de la Croix comme Jésus l’avait demandé la fois précédente, et je dis :

« Si c’est Satan qu’il disparaisse ! »

Aussitôt que j’eus fait le Signe de Croix et dit ces paroles, j’ai ressenti une paix et une confiance s’emparer de moi.

Puis Jésus apparaît, me sourit et me dit :

« Dites-leur ce que vous voyez. »

Je vois Jésus assis, devant Lui une table comme l’Autel, mais l’Autel qui est dans la chapelle n’y était plus, c’était une table toute blanche, comme de la pierre blanche. Sur cette table, des livres étaient ouverts, six ou sept, je ne sais pas exactement. Puis, un autre livre, ouvert également, que Jésus tient dans Ses Mains.

Il me dit ensuite :

« Voulez-vous avoir la gentillesse de dire ceci à haute voix. »

Je répète chaque phrase :

« Attention, vous tous qui tenez voilées les Paroles prophétiques qui vous ont été remises, le livre que Je tiens entre Mes Mains, c’est le LIVRE DE VIE que Mon Père vient de Me donner le pouvoir d’ouvrir, et c’est sur cette montagne bénie et sacrée, lieu qu’Il a choisi, que va se rénover toutes choses.

C’est ici que vous verrez la Cité Sainte, la Jérusalem nouvelle. Et voici qu’apparaîtra la demeure de Dieu parmi vous. »

« Mais alors se frapperont la poitrine ceux qui luttent et refusent d’entendre les paroles que cette humble servante a prononcées.

Vous, à qui J’ai demandé d’annoncer Mon Message, vous êtes coupables de laisser le monde dans l’ignorance de ce qui doit arriver bientôt. Ne vous appuyez pas sur votre propre réflexion. Pourquoi luttez-vous, puisque Je vous ai donné Ma Grâce dogmatique ? Par pitié, Je vous demande de M’écouter, Mon Cœur déborde de Miséricorde. »

Jésus se lève. La table disparaît. Il me sourit longuement.

Et Il me dit :

« Dites au prêtre et à tous ceux que vous rencontrerez ce que vous venez de voir et d’entendre ; vous vous en souviendrez toute la journée. »

Puis Jésus disparaît d’un seul coup et « je retombe dans les ténèbres ».

Pour bien comprendre cette révélation capitale expliquant l’importance du choix de Dozulé par le Christ, il faut d’abord lire le chapitre 21 de l’Apocalypse, qui est la grande espérance des chrétiens : la réintégration des hommes fils d’Adam dans le Royaume céleste, quand ils acquerront « en un instant au son de la trompette dernière » la Vie éternelle, et le droit d’entrer dans la Nouvelle Jérusalem… « Où de cris de pleurs de mort, il n’y en aura plus ». Il s’agit de la Jérusalem Messianique, car les pécheurs et les païens existeront encore, mais les feuilles de l’Arbre de Vie ont le pouvoir de les guérir.

TEXTE DU 3e CD, merci à Stéphanie qui a transcrit le 3e CD en  informatique: Vous pouvez acquérir les 3 CD en envoyant votre commande à
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48 e Apparition: interview de Madeleine par Jean Stiegler en Octobre 1983:

– « Évidemment, c’est la plus belle de toutes parce que là, on arrive vraiment à la raison d’être de Dozulé, parce que c’est la Jérusalem nouvelle.

Eh bien voilà, c’est ça.

– Vous pouvez me les développer un peu, la quarante-huit et la quarante-neuf ?

– La quarante-huit, j’ai donc fait le signe de la Croix, comme le Seigneur me l’a demandé, c’était le premier vendredi du mois de juillet. Le Seigneur me l’a demandé, j’ai dit : si c’est Satan, qu’il disparaisse !

Mais aussitôt que j’ai fait le signe de Croix, le Seigneur est apparu, donc c’était bien Lui, et j’ai ressenti une paix comme d’habitude.

« Dites-leur ce que vous voyez. » Je vois Jésus assis. Mais alors attendez, l’autel qui était là, n’y était plus
_L’autel de la chapelle ?

L’autel de la chapelle et puis le Saint-Sacrement n’y étaient plus, il n’y avait plus rien. C’était une espèce de table qui était là comme de la pierre blanche, c’était comme de la nacre, c’était beau, c’était brillant.

« Dites-leur ce que vous voyez. » Je vois Jésus assis ; devant Lui une table comme l’autel mais l’autel qui est dans la chapelle n’y était plus ; c’était une table toute blanche, – comme de la pierre blanche, et c’était même plus beau que de la pierre, c’était plutôt comme de la nacre – comme de la pierre blanche. Sur cette table, des livres étaient ouverts, six ou sept livres, je ne sais plus exactement.

Puis un autre livre, ouvert également, que Jésus tient dans Ses Mains. Il dit ensuite : « Voulez-vous avoir la gentillesse de dire ceci à haute voix ? » Alors voilà ce qu’Il dit : « Attention, vous tous qui tenez voilées les paroles prophétiques qui vous ont été remises, le livre que Je tiens entre Mes Mains, c’est LE LIVRE DE VIE, que Mon Père vient de Me donner le pouvoir d’ouvrir – alors, attendez, il y a des prêtres qui butent aussi là-dessus ; ils disent que Dieu a tout pouvoir, qu’il n’y a pas de raison que Son Père Lui donne le pouvoir de l’ouvrir mais c’est pourtant bien comme ça, que ça a été dit.

Mais vous savez, que la fin du monde, le Fils ne connaît même pas l’heure, c’est le Père.

Et c’est sûrement pour ça, que c’est dit – c’est sur cette montagne, bénie et sacrée, lieu qu’Il a choisi, que va se rénover toute chose. C’est ici que vous verrez la Cité Sainte, la Jérusalem nouvelle. » Et la Jérusalem Nouvelle, il paraît que c’est le Christ.

JS – Ah, mais attention, alors là, eh bien il faut se reporter à ce que dit saint Jean dans l’Apocalypse. Les six ou sept livres que saint Jean voit aussi à côté du Christ, dans la vision de Jésus descendant sur la montagne où Il doit juger le monde, ce sont les livres où sont écrites toutes les œuvres des hommes, tout ce qu’on a fait de bien et de mal dans notre vie ; c’est sur ces livres qu’on est jugé. Et le Livre de Vie, c’est le Livre où – c’est saint Jean qui le dit – sont marqués les noms des élus. Et il dit : tous ceux qui ne sont pas marqués sont promis à l’étang de soufre et à la géhenne, à l’enfer. Mais il dit bien : « Sur cette montagne bénie et sacrée, lieu qu’Il a choisi, que va se rénover toute chose » et Il dit : « Voici que Je fais toute chose nouvelle » ; dans l’Apocalypse, Il dit qu’« Il voit la Jérusalem céleste – c’est-à-dire, celle qui est dans le ciel – descendre sur une terre de haute montagne », et ça, c’est la butte de Dozulé parce que ce n’est pas seulement le Christ ; Il dit : « Voici qu’apparaîtra la demeure de Dieu parmi vous. », C’est plus que Dieu, c’est l’endroit où Il habite.

– Oui, c’est la Jérusalem nouvelle, alors, sans doute.

C’est une ville, une vraie ville parce qu’Il dit ensuite : « C’est une ville où il ne fait jamais nuit. Les gens ne meurent plus, qu’il n’y a plus de pleurs, qu’ils sont tous très heureux et toutes les nations de la terre viennent porter leurs trésors au pied de cette ville, pour honorer Dieu. »

– Alors, il n’y a pas de doute que c’est là.

– Et c’est sur cette butte, c’est tellement important ! Pourquoi la Croix Glorieuse est venue à Dozulé et pas ailleurs, puisqu’elle doit être vue du monde entier ? Parce que c’est sur cet endroit que doivent être jugés tous les hommes, (La plaine de Caen représente la nouvelle vallée de Josaphat à gauche de la Croix, lieu du Jugement, le côté droit étant à droite du Christ, le lieu des élus… Bien plus petit!)

– Il fallait bien que ça arrive à un endroit. Mais il y en a qui disent que c’est faux, que ça devrait être à Jérusalem.

– Mais c’est absolument faux, ils se trompent puisque la Synagogue a refusé l’Alliance. C’était l’ancienne Alliance avec Dieu, la Nouvelle Alliance, c’est le peuple chrétien. Saint Jean le dit dans l’Apocalypse. Le nouveau peuple juif. Il dit : « Les Juifs, les menteurs, ils usurpent de leur nom ». Ils croient qu’ils sont toujours le peuple élu, pas du tout, le nouveau peuple juif, c’est tout le peuple chrétien.

– Avez-vous expliqué ça ?

– Oui, bien sûr.

– Il faut l’expliquer parce qu’il y a beaucoup de gens qui disent çà.

– Le nouveau peuple juif, ce sont tous les chrétiens ; la Jérusalem vient, elle est nouvelle.

Il dit bien la Jérusalem nouvelle, il n’aurait pas dit que c’était la nouvelle, ça aurait été l’ancienne, c’est une autre Jérusalem.

– Ah voilà l’explication, que je ne savais même pas.

– Ça, c’était l’ancienne Alliance, celle des Juifs, qui ont crucifié le Christ.

– On en était à cette montagne bénie et sacrée, la Jérusalem Sainte.

– Oui, c’est l’avant-dernière.

– « Mais alors se frapperont la poitrine ceux qui luttent et refusent d’entendre les paroles que cette humble servante a prononcées. »

 Ce que je dis aux gens qui me demandent, ça veut bien dire que même jusqu’au bout, quand le Christ va revenir vous apparaître, va être de nouveau devant vous et va vous livrer les mystères du Livre de Vie, tels qu’ils sont annoncés dans la dernière, eh bien, il y aura encore des gens qui vont lutter et refuser puisque le Christ dit que « Seulement, quand ils verront la demeure de Dieu descendre sur cette terre, ils se frapperont la poitrine. » Autrement dit, même après que la Croix dans le Ciel sera apparue, même quand vous donnerez le nouveau mystère, eh bien il y en a encore qui vont lutter et refuser.

-C’est à dire, attendez, avant que la Croix soit apparue, non. C’est quand elle sera élevée, si elle est élevée un jour, par l’homme.

– Mais oui, elle sera élevée.

– Alors, si elle est élevée, les gens auront encore un doute, malgré tout.

– Mais oui, puisqu’Il le dit là. S’il faut que la demeure de Dieu descende, pour qu’ils y croient… Comme le prophète qui est venu là, le soi-disant prophète, qui dit : ça ne peut pas être là, c’est à Jérusalem. Ça ne tient pas debout.

– Je n’étais pas en colère après lui, je lui ai dit : Ecoutez, Monsieur, vous êtes libre. – Si, j’y crois aux messages, mais je ne crois pas à tout ! Je lui dis, vous savez, c’est tout ou rien du tout.

– Évidemment, c’est soit du Bon Dieu soit du diable.

– C’est tout ou rien du tout.

– Le Bon Dieu ne peut pas laisser l’erreur se mélanger avec tout ce qu’Il dit.

– La preuve, c’est qu’Il est venu mettre de l’ordre (concernant l’apparition du démon s’adressant à Gérard Cordonnier, et lui disant une parole sectaire : « Ne seront pas appelés fils de Dieu ceux qui ne voudront pas reconnaître le Message « )

– » C’est la seule qui est diabolique ».

– Voyez, et Il reprend de nouveau les prêtres au sujet de ceux qui luttent et refusent… Il en a déjà parlé dans la trente-quatrième.

– « Vous, à qui J’ai demandé d’annoncer Mon Message, vous êtes coupables de laisser le monde dans l’ignorance de ce qui doit arriver bientôt. Ne vous appuyez pas sur votre propre réflexion. Pourquoi luttez-vous puisque Je vous ai donné Ma Grâce dogmatique ? Par pitié, – Mme Avoyne était là, ce jour-là, elle a dit : j‘en pleurais, quand elle a entendu ‘par pitié ‘–

-Le Christ qui demande pitié aux prêtres, c’est quand même incroyable !

– « Je vous demande de M’écouter. Mon Cœur déborde de Miséricorde.

– Alors, Jésus s’est levé, la table a disparu et Il m’a souri longuement et Il m’a dit : « Dites au prêtre et à tous ceux que vous rencontrerez ce que vous venez de voir et d’entendre ; vous vous en souviendrez toute la journée. » Bien sûr que je m’en suis souvenu.

– Vous vous en êtes souvenu et vous l’avez dit à tous les autres ?

– Alors justement, ce jour-là, figurez-vous que je repartais de la chapelle et je n’aurais même pas été le trouver, je l’aurais rencontré, parce qu’il venait à la chapelle à cette heure-là. Et la sœur m’a dit : venez me voir par là-bas, de l’autre côté, n’allez pas trouver Monsieur le Curé, parce qu’il n’y a pas de raison que vous lui disiez.

– C’était le père Queudeville ?

– Oui

– Eh bien, dites, ça aurait été très utile qu’il vous voie, pour une fois.

– Eh bien, je l’aurais rencontré, je n’aurais même pas été chez lui, je l’aurais rencontré.

Il venait au-devant de moi, je l’aurais rencontré dans la rue.

– Ah, quel dommage !

– La sœur m’a arrêtée, elles m’ont toujours arrêtée et j’ai toujours obéi.

– Vous ne croyez pas qu’il aurait cru, s’il vous avait vue à ce moment-là ? Le père Queudeville ?

– Oh oui, sûrement, Madame Avoyne m’a dit : il vous aurait crue parce qu’il vous aurait vue illuminée ! Il paraît que j’étais complètement illuminée ! Illuminée du Christ !

– Rayonnante !

-Rayonnante du Christ. Madame Avoyne m’a dit : c’est si dommage et c’est la sœur qui a arrêté tout.

– La sœur Bruno ?

– Oui

– Oh la la !

J’ai obéi.

(Un directeur spirituel n’a pas le droit de donner des ordres à un laïc comme le faisaient l’évêque et le prêtre, comme si Madeleine était une religieuse soumise au vœu d’obéissance. Seulement des conseils. C’est seulement quand Madeleine n’accomplissant pas sa mission prophétique répétée une troisième fois dans la 49e apparition, que le Christ lui dit tristement constatant son désir de suivre d’abord l’Eglise militante : 

« Je vous le dis obéissez à votre supérieur. Lui seul sur cette terre est chargé de faire la Volonté de Mon père, mais MALHEUR au monde en péril car il tarde »…  

Sœur Bruno s’adressant à Madeleine :

– L’abbé L’Horset serait là, il vous dirait de ne le dire à personne et c’est vrai, il l’a toujours dit alors je me suis toujours tue.

– Oui mais enfin l’abbé L’Horset, le père Queudeville aussi il est prêtre de la paroisse, pourquoi elle a empêché ça ?

– Ah parce qu’elle a dit ce n’est pas lui ; évidemment, je sais que c’est l’abbé L’Horset mon directeur de conscience ; j’aurais pu le dire au prêtre, il n’y a pas de doute.

– C’est toujours votre directeur de conscience, l’abbé L’Horset ?

– Oui, toujours, je lui téléphone toujours et c’est toujours lui quand il y a quelque chose. La preuve, le dernier message, c’est à lui que je l’ai dit.

– Puis Jésus disparaît d’un seul coup et je retombe dans les ténèbres.

– Oui, je vais vous dire pourquoi dans les ténèbres, parce que tout à l’heure, on est dans les ténèbres.

– En ce moment, on est dans les ténèbres ?

– Écoutez, on a la lumière du soleil mais ce n’est rien, comparé avec la lumière céleste parce que la lumière céleste, c’est tellement merveilleux et tellement plus clair et tellement merveilleux ! C’est tellement beau ! D’abord, c’est l’Esprit qui est dans la joie.

Alors que la lumière du soleil, on est dans les ténèbres, ce n’est pas du tout la même chose, c’est pour ça que je dis que je retombe dans les ténèbres à chaque fois. D’ailleurs le Seigneur l’a dit dans le message : « Vous êtes tous dans les ténèbres. » Et ceux qui doutent aussi et même moi, pourtant quand je vois la lumière, je suis tout à fait avec le Christ, eh bien je me retrouve dans les ténèbres.

JS : Ici bas, toute l’humanité vit dans les ténèbres, dans l’ignorance de la Présence de Dieu. 

C’est seulement au moment précis du Retour du Christ en Gloire sur cette montagne bénie et sacrée, que le baptême de feu final éliminera le péché originel, rendant alors les élus « Fils de Dieu ».

Les sacrements de l’Eglise sont les prémices du baptême final et de l’effusion de l’Esprit Saint permettant d’accéder au Culte en Esprit et en Vérité annoncé seulement dans la Nouvelle Jérusalem. Actuellement, nous sommes tous dans les ténèbres, et sommes à l’école de l’Amour du prochain par l’observance des dix commandements.