Chers Amis,
A l’Ile Bouchard, la TS Vierge a employé la prière de petits enfants, pour enrayer la menace de guerre civile et de la dictature communiste en 1947.
Elle aurait pu s’adresser aux chefs des grévistes, aux évêques, ou aux ministres du gouvernement, pour leur donner une solution politique. Mais le plan de Dieu passe par une action humble et effacée dans la prière, à l’inverse du raisonnement humain.
Le monde actuel est sous la direction du Prince de ce monde ; le Ciel ne peut pas passer par les tenants d’un pouvoir aux mains du démon et de ses serviteurs.
« Satan dirige le monde, il séduit les esprits, les rend capables de détruire l’humanité en quelques minutes » (14e apparition du Christ à Dozulé). »
« Vous vivez le temps où Satan est déchainé dans toute sa force ; mais le temps est tout proche et Je viens vaincre le Mal ».47e apparition à Dozulé.
Le Ciel ne peut pas passer par les tenants d’un pouvoir aux mains du démon, donc il passe par la TS Vierge qui s’adresse à des enfants, qu’on ne croira que devant la guérison miraculeuse de Jacqueline Aubry, et devant l’arrêt inattendu des actions révolutionnaires, dans la nuit du 7 au 8 Décembre 1947.
Aujourd’hui ce ne sont pas les revendications justifiées des gilets jaunes, ou le blocage des routes qui menacent la France, mais l’ennemi intérieur que les dirigeants laissent s’installer, depuis que le regroupement familial des émigrés fut autorisé par Giscard en 1974, permettant une invasion musulmane incessante depuis 54 ans.
Le 9 Décembre prochain, Macron va au Maroc signer le Pacte mondial pour l’Immigration » qui permettra aux immigrés illégaux et aux clandestins d’être régularisés automatiquement en France. SANS L’ACCORD DES FRANCAIS! Les autres pays européens refusent de signer, mais la France va le faire, consacrant ainsi l’argent public à installer une population désoeuvrée et étrangère, à la place des plus pauvres bannis de l’aide à laquelle ils auraient droit sans cette folie immigrationniste.
Il ne s’agit pas pour nous d’être « raciste ou xénophobe », selon les mots des médias-bobos, mais de constater que le Coran dicte aux populations musulmanes une doctrine anti-chrétienne, appelant au meurtre fanatique des non-musulmans et au racisme :
« Tuez dés qu’ils vous tournent le dos » leur est répété à maintes reprises. »
Sourate IV Les femmes versets 89_90 :
« Ne prenez pas d’amis chez eux avant qu’ils émigrent dans le sentier de Dieu. S’ils tournent le dos, saisissez les, tuez les où que vous les trouviez. Ne prenez pas d’amis ni de secours chez eux… »
verset 91: « …S’ils ne se rendent pas à vous et ne déposent pas les armes, saisissez les, tuez les où que vous les trouviez. Nous vous donnons tout pouvoir sur eux »
On ne peut pas vivre en confiance avec des voisins qui croient à des mots d’ordre assassins, soit-disant dictés par Dieu. L’Islam à la française n’existera jamais, car il n’y a qu’ UN SEUL Coran dictant la Charia, que près de 30% des musulmans estiment au-dessus des lois françaises.
L’Islam adepte du Coran doit être interdit en France, c’est le moyen employé par le Mal pour détruire la France:
Tome 1 « L’Amour contre la Haine » p.86
« Soyez bénis mes frères mes enfants mes amis. Je suis Jésus le Christ qui remercie mes cœurs de choisir L’AMOUR DIEU de choisir L’AMOUR FOU de leur Dieu qui, pleurant, accepte leurs souffrances pour pardonner d’avance tous les crimes les vengeances de ces envahisseurs qui veulent détruire LA France. Mais Dieu sauve LA France avec ses serviteurs qui fidèles à LA CROIX se couchent sous LA CROIX pour servir LA PATRIE de Jeanne et de Clovis. »
L’ immigration, voulue par les mondialistes, dont Macron se veut le chef de file en Europe, l’immigration musulmane détruit la stabilité du vivre ensemble français, et l’économie du pays, consacrée en grande partie aux immigrés.(40 à 50000 euros par jeune émigré par an)
Mahomet a inventé le moyen satanique de nier la mort et la résurrection du Christ, et donc la rédemption de toute l’humanité, en affirmant vers l’an 610:
Sourate IV, Verset 157 : « Les Juifs, ils ne l’ont ni tué ni crucifié, mais quelqu’un lui a ressemblé devant eux »
Sans la mort et la résurrection du Christ prenant tous nos péchés sur Lui, le sauvetage de l’humanité par Dieu incarné en Jésus de Nazareth n’existe pas; que le chamelier Mahomet, analphabète et inculte, se permette 6 siècles plus tard de nier l’histoire du Christ est le pire des blasphèmes, l’oeuvre de Satan voulant empêcher le rachat de l’humanité.
La Victoire de Dieu se fera par la Croix apparaissant à toute la terre, quand on croira tout perdu…Et les musulmans survivants quitteront l’Islam, enfin !.
Toute la stratégie des mondialistes au pouvoir, consiste à détruire le patriotisme des peuples en le désignant comme fauteur de guerre, et à faire passer leurs intérêts financiers personnels, exploitant la main d’oeuvre étrangère à bas prix, avant les intérêts des Français les plus pauvres.
La solution de Macron est d’assimiler les braves Français gilets jaunes, avec les extrêmes, voyous souvent payés pour casser au profit d’un état manipulateur.
La stratégie de Macron est de donner l’impression que son programme est la seule alternative à Marine Le Pen, à un « extrémisme raciste et haineux ».
« C’est moi ou le chaos de l’ultra-droite ». Cela élimine ses adversaires des autres partis…
Il ne sait pas que le plan de Dieu pour l’avenir, passe par le retour à un pouvoir légitime chrétien, dirigé par le roi désigné par Dieu, dans le grand tumulte du Printemps, tumulte qui se terminera par les 3 jours de ténèbres annoncés par le Padre Pio, durant lesquels les 3/4 de l’humanité périront subitement. « La terre sera bien dépeuplée quand viendra le roi »
Plus de 5500 prophéties annoncent ce roi depuis Saint Méthode, évêque et martyre sous Dioclétien, et par les Pères de l’Eglise.
Nous faisons 7 pèlerinages cette année en Bretagne, pour demander le parrainage des 7 saintes ayant reçu la révélation du roi sauveur à venir.
Toutes ont été persécutées par la Franc-maçonnerie parfaitement informée de cet avenir, et dictant sa loi au sein même des dirigeants de l’Eglise. C’est la raison pour laquelle aucun évêque, sauf celui de Tours pour l’Ile Bouchard, n’a reconnu ces missionnées, car ils sont tous aux ordres de la conférence épiscopale en pleine négation des apparitions en France. ( Mgr Pontier, président de la conférence épiscopale approuve la construction d’une grande mosquée à Marseille…)
Le Christ nous annonce le retour à la Foi, aux racines de la France, aux vraies valeurs d’Amour, inconnues dans le Coran. Au triomphe d’une Eglise rénovée par le surnaturel.
Aujourd’hui, l’heure est à la prière pour hater la venue du roi et empêcher la menace de guerre civile dénoncée par Gérard Collomb, quand il démissionna du ministère de l’intérieur… Guerre civile avec les servants de la Haine, et non pas entre Français pacifistes, ne nous laissons pas berner par la propagande.
Nous ne faisons pas de politique, nous vous répétons le plan de Dieu annoncé dans Ses messages, contraire au plan des politiques, pour nous stimuler dans la prière pour la France éternelle.
Comme le demanda Marie aux 4 enfants de l’Ile Bouchard, chantons souvent le « Je vous salue Marie » dans la journée, et visualisons le plus souvent possible les différentes villes de France en plantant la Croix Glorieuse sur chacune d’elles, pour convertir les habitants.
« Priez-vous pour les pécheurs ? » demandait la Sainte Vierge aux petits enfants. Sa hantise était de voir les pécheurs, ses enfants, ne pas entrer dans le Royaume de Son Fils, mais dans l’enfer de Satan….
Dans ce but, prévoyons bien le Samedi 8 Décembre à l’Ile Bouchard à 10H30 devant l’église saint Gilles.
Ce sera la fête de la Sainte Vierge triomphante, l’Immaculée Conception !
A bientôt chers Amis ,
Vive le Christ Vrai ROI de France !
Mont-Joie Saint-Denis, vive SON BON roi !
Jean Stiegler
Les Apparitions de L’Ile Bouchard (Suite)
L’Île-Bouchard est une petite commune de Touraine (France), à 20 kilomètres de la ville de Chinon.
Du 8 au 14 décembre 1947, quatre petites filles déclarent voir la Sainte Vierge et l’ange Gabriel dans l’église paroissiale Saint-Gilles de l’Ile-Bouchard. “Dites aux petits enfants de prier pour la France, car elle en a grand besoin” demande Marie ; “Je donnerai du bonheur dans les familles” promet-elle.
Les pèlerinages et le culte public à Notre-Dame de la Prière ont été autorisés par décret de Mgr André Vingt-Trois, alors archevêque de Tours, le 8 décembre 2001.
L’animation de la paroisse Saint-Gilles de L’Île-Bouchard, est confiée à une équipe de prêtres de la Communauté de l’Emmanuel depuis juin 1998. Plus de 100 000 pèlerins, et tout particulièrement des familles, viennent chaque année y prier la Vierge Marie.
Le vendredi 12 décembre, dès midi, la foule envahit l’église. Chacun veut être au premier rang : chaises, bancs, tout est plein. On compte alors de trois cents à quatre cents personnes.
À 13 heures, les quatre fillettes viennent s’agenouiller, coude à coude, devant l’autel de la Sainte Vierge et, aussitôt, leur maintien prouve à l’assistance que l’apparition se manifeste de nouveau à elles. La Dame est plus radieuse que jamais. Sa tête est auréolée de rayons lumineux vivement colorés, bleus, rouges, jaunes, verts, rosés, orange. Comme à Fatima. Les enfants nommeront cette auréole “ arc-en-ciel ”. Le mot MAGNIFICAT apparaît en entier en lettres d’or sur sa poitrine, car elle a baissé les mains.
Se reproduit alors le même rituel de dévotion liturgique dirigé par la belle Dame : le “ Je vous salue Marie ”, les invocations, le baisemain, important !
« Priez-vous pour les pécheurs ? demande la voix.
– Oui, Madame, nous prions.
– Bien. Surtout, priez beaucoup pour les pécheurs. »
Alors les enfants prennent leur chapelet et récitent, avec la Dame et l’Ange, dix Ave Maria suivis de l’invocation “ Ô Marie conçue sans péché… ”
Lorsque la prière est achevée, Jacqueline, désignant une jeune fille paralytique du village proche de Saint-Épain qu’on a apportée sur une civière, demande :
« Madame, voulez-vous guérir cette jeune fille ?
– Si je ne la guéris pas ici, je la guérirai ailleurs, répond la Dame.
– Ô Madame, reprend Jacqueline, voulez-vous guérir une personne très pieuse ?
Comme la Dame ne répond pas, elle continue naïvement :
– Elle demeure à Angers.
– Je ne suis pas venue, dit enfin la Dame redevenue toute triste, pour faire des miracles mais pour que vous priiez pour la France qui est en grand danger, ces jours-ci. »
Alors la Dame trace un lent signe de Croix sur la foule et les enfants se signent. Puis l’apparition disparaît. Les enfants, après s’être de nouveau signées, se lèvent et sortent de l’église. Quelle simplicité !
Ce 12 décembre marquait la fin définitive de la grève et la reprise du travail sur l’ensemble du territoire. D’où l’apparition du mot complet “ Magnificat ”.
PAS DE NOTRE PÈRE ?
Le samedi 13 décembre, dès midi, la foule arrive à pleines rues vers l’église et s’y engouffre. Environ cinq cents personnes remplissent le sanctuaire. Un peu avant 13 heures, les enfants arrivent. Puis la Sainte Vierge, qui prend l’initiative de la prière :
« Chantez le “ Je vous salue Marie ”. »
Les enfants chantent, « pour faire plaisir à la Dame », puis la Dame leur fait signe de réciter leur chapelet.
« Commencez tout de suite par les “ Je vous salue Marie ” », dit-elle.
Et le Notre Père ? Pas de Notre Père ! Comme si la Sainte Vierge prenait la place du Bon Dieu ! Mais, précisément, c’est cela. Comme à La Salette en 1846, cent ans auparavant ; (…) l’explication viendra à Fatima, lorsque Notre-Dame dira que c’est la volonté de Dieu qu’elle passe devant et que tout lui soit soumis.
Les enfants récitent dix Ave suivis de l’invocation, et interrogent la Dame du regard pour savoir s’il faut s’arrêter, mais elle leur dit :
« Continuez les “ Je vous salue Marie ”. »
C’est ainsi qu’elles récitent cinq dizaines d’Ave, sans Pater ni Gloria, mais entrecoupés à chaque dizaine par l’invocation “ Ô Marie conçue sans péché… ”
Puis Nicole Robin, sur le désir de sœur Saint-Léon de la Croix, demande tout bas :
« Madame, quand on fera la grotte, faudra-t-il laisser l’autel qui est à côté ?
– Oui, laissez l’autel à côté. »
Jacqueline qui a dans sa main une gerbe d’œillets, offerte par une personne de la paroisse pour être présentée à la Dame, dit :
« Madame, je vous offre ces fleurs.
La Dame bénit les fleurs et Jacqueline murmure :
– Oh ! merci.
La Dame demande alors :
– Est-ce que vous me construirez une grotte ?
– Oui, Madame, nous vous la construirons.
La Dame sourit à cette réponse et dit :
– Je reviendrai demain pour la dernière fois. »
Sur ces mots, elle disparaît. L’apparition a duré vingt-cinq minutes. Si la Sainte Vierge insiste tant pour avoir “ sa ” grotte, c’est peut-être parce qu’elle sait que les hommes sont lents à satisfaire ses demandes : la statue de la Vierge au globe et l’ouverture de la chapelle de la rue du Bac, la dévotion des cinq premiers samedis du mois à Fatima…
MAGNIFICAT !
Dimanche 14 décembre. Dès la fin de la grand-messe, la foule envahit l’église. Plusieurs familles qui ont assisté à la messe ne retournent pas chez elles pour déjeuner, de peur de ne plus trouver ensuite de place.
La foule grossit de plus en plus. Bientôt il n’y a plus une place à prendre, bien qu’on ait enlevé une partie des chaises. La chaire, la tribune, sont pleines. Des grappes humaines s’attachent, s’accrochent aux piliers de l’église. Des échafaudages les plus hétéroclites s’élèvent, des gens apportent des échelles doubles qui sont aussitôt garnies jusqu’au faîte. Il y a là plus de deux mille personnes, sans compter celles qui n’ont pu entrer. Toute cette foule est néanmoins disciplinée et récite, sans interruption, quatre chapelets.
Peu avant 13 heures, les quatre fillettes, les bras chargés de fleurs magnifiques, s’avancent, non sans peine, jusqu’à l’autel de la Sainte Vierge et s’agenouillent, séparées les unes des autres. Bientôt l’apparition se manifeste, plus belle que jamais. La récitation du chapelet par les voyantes, à l’initiative de la Dame, sera ponctuée à chaque dizaine d’une parole significative de la Sainte Vierge. Ainsi, après la première dizaine, Jacqueline lit un papier préparé par le Curé :
« Madame, nous vous demandons de bénir Monseigneur l’Archevêque, ses vingt-cinq années d’épiscopat, Mgr l’Évêque de Blois, les deux paroisses, les écoles libres, la mission du Carême, les prêtres du doyenné et de donner des prêtres à la Touraine. »
Déjà la lancinante question des vocations ! La Dame regarde les enfants, et eux la regardent en silence, puis la Dame incline la tête en signe d’assentiment.
Alors, les fillettes se lèvent et, sans quitter leurs places, offrent les fleurs qu’elles portent sur leurs bras.
« Madame, nous vous offrons ces fleurs. »
La Dame est souriante mais ne répond rien. Alors Jacqueline insiste : « Prenez-les. »
Nouveau silence. La Dame continue de sourire.
« Embrassez-les, supplie Jacqueline. Alors la Dame répond enfin :
– Je les embrasserai mais je ne veux pas les prendre. Vous les emporterez. »
Et la Dame leur ayant fait signe d’approcher, les enfants viennent à ses pieds et Jacqueline présente successivement sa gerbe de fleurs et celles des trois autres fillettes. La Dame embrasse les fleurs et dit :
« Continuez le chapelet. »
Les enfants reviennent à leurs places et récitent la seconde dizaine. La Dame et l’ange s’unissent à la prière jusqu’aux mots : “ Sainte Marie… ” Jacqueline sort alors un second papier, préparé par une sœur :
« Madame, que faut-il faire pour consoler Notre-Seigneur de la peine que lui causent les pécheurs ?
– Il faut prier et faire des sacrifices. »
La troisième dizaine est suivie des invocations.
« Ô Madame, demande Jacqueline, je vous en supplie, donnez-nous une preuve de votre présence !
– Avant de partir, j’enverrai un vif rayon de soleil, répond la Dame, qui ajoute : Dites à la foule qu’elle chante le Magnificat. »
Pendant ce chant, la beauté de la Sainte Vierge tournant les yeux vers le Ciel est telle, qu’elle ravit à jamais le cœur des enfants. Elle a de quoi être heureuse : le danger que courait la France est écarté, sa prière a été exaucée. Le chapelet reprend. À la fin de la quatrième dizaine, la Dame demande qu’on lui chante encore le “ Je vous salue Marie ”. Puis, elle ajoute :
« Priez-vous pour les pécheurs ?
– Oui, répondent les quatre enfants ensemble.
– Récitez une dizaine de chapelet les bras en croix ! »
Alors, avec un ensemble parfait, les enfants mettent leurs bras en croix. Sans hésitation ni respect humain, la foule fait de même. Beaucoup n’avaient pas prié depuis de nombreuses années et certains ont des larmes dans les yeux. La cinquième dizaine achevée, la Dame dit :
« Allez-vous construire la grotte ?
– Oui, oui, nous allons la construire. »
LA SIGNATURE DE L’IMMACULÉE
Pendant le dernier chant du “ Je vous salue Marie ”, que termine l’invocation “ Ô Marie conçue sans péché, priez, priez pour la France ”, un rayon de soleil, perçant un ciel nuageux très bas, a pénétré par une verrière, au sud de l’église, et se projette obliquement et progressivement, en éventail, sur l’apparition et sur les quatre enfants dont les visages sont transfigurés. Les fleurs qu’elles tiennent à la main semblent recouvertes de diamants. Le phénomène est inexplicable.
Pour qui serait encore sceptique, ce rayon de soleil miraculeux est la signature de l’Immaculée Conception si l’on se souvient que déjà, le 8 décembre 1854, lors de la définition du dogme de l’Immaculée Conception par le pape Pie IX, le Ciel s’était manifesté de la même manière au Souverain Pontife. Au moment de prononcer les paroles de la définition, la voix de Pie IX se trouva soudain mystérieusement affermie et amplifiée, au point de résonner dans toute la basilique Saint-Pierre. Au même instant, tandis qu’il avait plu jusqu’alors abondamment, le ciel se découvrit et un rayon de lumière vint illuminer le Pontife.
Comme à Fatima, mais d’une manière beaucoup plus modeste, les apparitions de L’Île-Bouchard se terminent par un miracle solaire.
Le chant terminé, la Dame bénit lentement la foule. Inclinées, les enfants se signent. La Dame et l’Ange disparaissent. Le voile d’argent se replie en forme de boule, et la boule toute resplendissante sous la lumière du mystérieux rayon de soleil rentre dans le mur. Bientôt, le rayon de soleil disparaît à son tour. Monsieur le Curé, sortant de sa réserve habituelle, monte sur les marches de l’autel et dit à la foule que « ce rayon de soleil est un rayon envoyé par la Sainte Vierge ».
Les fruits ne se firent pas attendre dans la paroisse : « C’est avec joie que le Curé constate un retour à la pratique religieuse. Beaucoup de paroissiens qui n’avaient pas mis les pieds à l’église depuis de nombreuses années revenaient aux sacrements. Les prêtres du canton remarquent la même chose. »
Mais surtout, la menace d’une guerre civile suscitée par les “ erreurs de la Russie ” fut, durant cette semaine du 8 au 14 décembre 1947, définitivement écartée. Les historiens datent de cette fin d’année 1947 le commencement du déclin du parti communiste français, et parle des mois qui suivirent comme d’un « moment de grâce et de détente, dans le destin tourmenté du régime ». Peut-être aussi comme un avant-goût du « certain temps de paix » promis à Fatima.
Extraits de Il est ressuscité ! n° 41, déc. 2005, p. 23-32